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Channel: "LE GABON ENERVANT" OR "ANNOYING GABON"
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WHAT IS A POLICE STATE? QU’EST QU’UN ETAT POLICIER ?

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English version

The dictionary tells us that a police state is one in which the authorities rely on law enforcement to maintain and implement the prerogatives of the political power in place, by monitoring the population and potential opponents.

Gabon is a police state because:

1. It is run by a president criminal in more ways than one: he steals the votes of the people; and he kills them if they show their discontent, thus stifling the legitimate aspiration of a young nation for freedom.
2. The regime seeks stability using intimidation of the population, to maintain its shaky authority, which is at the outskirts of legitimacy, and would collapse without the actions of the police.
3. The system uses the public force to silence the conscientious objectors who are tired of living under a state of generally failing bureaucracy; as we have just seen with the recent floods.
4. The regime uses the police to prevent the voices of the Gabonese who are against the evidence of a draft State, to be heard, where no law is respected, no rule followed; and where power is so personalized that the resolution of problems is blocked without the direct intervention of Ali Bongo. That we need the intervention of the President to address a problem of land surveying may seem a caricature; and yet this is what happens every day in Gabon.
5. The regime is actually an oligarchic system to which Ali Bongo is the referee. The members of this oligarchy must have in common their unwavering loyalty to Ali Bongo.
6. The regime builds up its "opposition" and beats up the on that resists.
7. The regime is refractory to education because it fears an educated people.
8. The regime fights the freedom of thought, of expression and communication, as we have just seen with the raid of Echos du Nord employees.
9. The regime fills prisons with those who would prevent it from doing as it pleases.


Dear readers, here we are!




Version française

Le dictionnaire nous dit qu’un Etat policier en est un dont les autorités s'appuient sur les forces de l’ordre pour maintenir et faire respecter les prérogatives du pouvoir politique en place, en surveillant la population et les éventuels opposants.

Le Gabon est un Etat policier car :

1. Il est dirigé par un président criminel à plus d’un titre : il vole les suffrages des populations ; et il les tue si celles-ci manifestent leur mécontentement, étouffant donc l’aspiration légitime d’une jeune nation à la liberté.
2. Le régime cherche la stabilité en utilisant l’intimidation des populations, pour maintenir son autorité branlante, aux périphéries de la légitimité, qui s’écroulerait sans les actions de cette force publique.
3. Le régime utilise la force publique pour faire taire les objecteurs de conscience qui n’en peuvent plus de vivre sous un appareil étatique et administratif globalement défaillant ; comme on vient encore de le voir avec les récentes inondations.
4. Le régime utilise la force publique pour éviter que les voix des Gabonais s’élèvent contre les évidences d’un État brouillon, dans lequel aucune loi n’est appliquée, aucune règle respectée ; et où le pouvoir est si personnalisé que le règlement de tout problème est bloqué sans l’intervention directe d’Ali Bongo. Dire qu’il faut l’intervention du président pour régler un problème de viabilisation d’un terrain, paraîtrait peut-être caricatural ; et pourtant, c’est cela qui se produit tous les jours au Gabon.
5. Le régime est en fait un système oligarchique dont Ali Bongo est l’arbitre. Les membres de cette oligarchie se doivent d’avoir en commun leur indéfectible loyauté envers Ali Bongo.
6. Le régime fabrique son « opposition » dite responsable et matraque celle qui résiste.
7. Le régime est réfractaire à l’éducation car il craint un peuple scolarisé.
8. Le régime combat la liberté de penser, de l’exprimer, et de le communiquer, comme nous venons encore de le voir avec la razzia des employés d’Echos du Nord.
9. Le régime rempli les prisons de ceux qui voudraient l’empêcher de tourner en rond.


Chers lecteurs, nous y sommes !


THE IRE OF GABONESE RETIREES. LA COLÈRE DES RETRAITÉS GABONAIS

TV+NEWSCAST. LE JOURNAL DE TV+

PRESS RELEASE. COMMUNIQUÉ

LIVE FROM PARIS. EN DIRECT DE PARIS

FOR BILIÉ BI NZE, THERE WAS NO MAN MILITARI ARREST AT ECHOS DU NORD HEADQUARTERS BUT PEOPLE WHO WERE CALLED TO BE HEARD. POUR BILIÉ BI NZE, IL N’Y A PAS EU D’ARRESTATION MANU MILITARI AU SIÈGE D’ÉCHOS DU NORD, MAIS DES GENS QUI ONT ÉTÉ INTERPELLÉS POUR ÊTRE ÉCOUTÉS

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English version

Bilié Bi Nze thinks he is being smart in wanting to play with words. He thinks he could cloud the issue by trying to insinuate that the raid carried out by Ali Bongo’s squads at the headquarters of Echos du Nord, was a only a stop and not an arrest. Let’s consider the legal definitions.

The legal dictionary tells us that stops, in criminal law, are the act of making a summons to an individual during a control or an investigation. A stop is actually a request for an explanation; and it has nothing to do with arrest or imprisonment.

While the arrest is the act of apprehending a person through the use of the public force, with the aim of incarceration.

In making a forceful raid at the headquarters of Echos du Nord, the regime has commited arrests and not stops. Must Bilié Bi Nze be forewarned!



Version française

Bilié Bi Nze se croit malin en voulant jouer avec les mots. Il pense noyer le poisson en voulant insinuer que la rafle effectuée par les escadrons d’Ali Bongo au siège d’Echos du Nord, n’était qu’une interpellation et non une arrestation. Examinons les définitions légales.

Le dictionnaire juridique nous dit que l’interpellation, dans le droit pénal, est l’acte de faire une sommation a un individu, pour un contrôle ou une enquête. Une interpellation est en fait une demande d’explication ; et elle n’a rien avoir avec une arrestation ou incarcération.

Tandis que l’arrestation est l’acte d’appréhender un individu en se servant de la force publique, avec pour objectif l’incarcération.

En procédant à une descente musclée au siège d’Echos du Nord, le régime s’est livré à des arrestations et non des interpellations. Que Bilié Bi Nze se le tienne pour dit !

THE GABONESE DIASPORA WAS ONCE AGAIN MOBILIZED THIS SATURDAY IN PARIS. LA DIASPORA GABONAISE ÉTAIT ENCORE MOBILISÉE CE SAMEDI À PARIS

DÉSIRÉ ÉNAME ON TV5. DÉSIRÉ ÉNAME SUR TV5


ECHOS DU NORD JOURNALISTS WERE SUBJECTED TO TORTURE. LES JOURNALISTES D’ÉCHOS DU NORD AURAIENT SUBI DES TORTURES

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English version

During his appearance on the newscast of TV5, Désiré Ename, the boss of Echos du Nord newspaper, who now lives in exile in France, presented pictures of the Deputy Chief Editor of that Journal, taken during her medical examination after her release; which clearly indicated that she, Raïssa Oye-Asseko, had suffered physical abuse that left visible bruising on her body.

Not only the detention of Echos du Nord journalists was illegal, the use of torture during their detention indicates that the regime wanted to use intimidation and violence to force the newspaper to restrict considerably and permanently, its outspokenness and opinion. The bruises on Raïssa Oye-Asseko are the emblems of the most ferocious repression of the regime against the representatives of freedom of opinion.

The arrest of Echos du Nord journalists, and their torture, indicate that Ali Bongo’s regime remains determined not to guarantee in Gabon, the conditions for a real plurality of information. This regime is resolute in the suppression of expression independent of the official discourse.

This blog is delighted to have found that Désiré Ename remained firm in his determination to continue writing and publishing following the precepts of freedom of the press.




Version française

Lors de son passage au journal télévisé de TV5, Désiré Ename, le patron du journal Echos du Nord, qui vit en exil aujourd’hui en France, a présenté des photos de la Rédactrice en Chef Adjointe dudit journal, prises pendant sa visite médicale après sa relaxation ; qui indiquaient clairement que cette dernière, Raïssa Oye-Asseko, avait subi des sévices corporelles qui lui ont laissé des ecchymoses visibles.

Non seulement la détention des journalistes d’Echos du Nord a été illégale, l’utilisation de la torture pendant cette détention indique que le régime tenait à utiliser l’intimidation et la violence, pour forcer cet organe de presse à restreindre de manière considérable et permanente, sa liberté de ton et d’opinion. Les ecchymoses de Raïssa Oye-Asseko sont les emblèmes de la répression la plus féroce du régime contre les représentants d’une liberté d'opinion.

L’arrestation des journalistes d’Echos du Nord, et les tortures subies, indiquent que le régime Ali Bongo reste déterminé à ne pas garantir au Gabon, les conditions d'une réelle pluralité de l'information. Ce régime fait la répression de toute expression indépendante au discours officiel.

Ce de blog est ravi d’avoir constaté que Désiré Ename restait ferme dans sa volonté de continuer à écrire et publier suivant les préceptes de la liberté de la presse.

JEAN PING MEETS THE GABONESE DIASPORA. JEAN PING RENCONTRE LA DIASPORA GABONAISE

JONATHAN NTOUTOUME-NGOME IS ON SALE TO THE REGIME. JONATHAN NTOUTOUME-NGOME SE SOLDE AU RÉGIME

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Jonathan Ntoutoume-Ngome






English version

What is a sale in the language of commerce?

A sale is the action to provide articles cheaply, to stimulate transactions and sell them very fast, before they become out of season, or unfit for consumption.

Jonathan Ntoutoume-Ngome who two months was still part of Jean Ping’s campaign team, is saling his opinions to the regime. One can purchase everything they want from him, in a studio of the public TV channel, even to justify the arrests of journalists.

For Jonathan Ntoutoume-Ngome the problem in Gabonese journalism is Echos Du Nord which publishes biased information that threatens the Republic; and therefore the authorities must bring this newspaper to order by beating and torture if necessary. But have we heard Jonathan Ntoutoume-Ngome in the same TV studio, for the sake of a complete and impartial information, make an analysis of the content and articles of the Scribouillard, the Douk-Douk, of Equatorial Morning, of L’Union, etc., and to convince us that these regime’s newspapers are publishing in strict journalistic orthodoxy? Of course not!

When one sells their opinions to the regime, they become someone whose opinions are for rent. The regime needs a member of the opposition to destroy another member of the opposition, they call on you for the dirty work. Actually, dear readers, people like Jonathan Ntoutoume-Ngome are only hawkers who sell their opinions from door to door.

But experience has shown us for over 20 years that Echos du Nord is a newspaper that has value and whose leadership is strong and has seen a lot. Although the likes of Jonathan Ntoutoume-Ngome do not hesitate today to sell those they know to have integrity, Echos du Nord will survive and only mountains never meet. Those who welcome the torture of innocent Gabonese will pay one way or another.




Version française

Qu’est-ce qu’une solde dans le langage du commerce ?

Une solde est l’action de proposer à bas prix ses articles, pour stimuler les ventes et les écouler très vite, avant qu’ils ne deviennent hors saison, ou impropres à la consommation.

Jonathan Ntoutoume-Ngome qui il y a encore deux mois faisait partie de l’équipe de campagne de Jean Ping, solde ses opinions au régime. On peut s’offrir tout ce que l’on veut de lui, sur un plateau de la chaine de télévision publique, même de justifier des arrestations de journalistes.

Pour Jonathan Ntoutoume-Ngome, le problème dans le journalisme au Gabon c’est Echos du Nord qui publie des informations tendancieuses mettant en danger la république ; et par conséquent les autorités doivent ramener cet organe de presse à l’ordre par la chicotte et la torture s’il le faut. Mais a-t-on entendu Jonathan Ntoutoume-Ngome, sur le même plateau de télévision, par souci d’une information complète et impartiale, nous faire l’analyse du contenu et des articles du Scribouillard, du Douk-Douk, de Matin Equatorial, de L’Union, etc., et de nous convaincre que ces journaux du pouvoir publient dans la stricte orthodoxie journalistique ? Bien sûr que non !

Quand on solde ses opinions au régime, on devient quelqu’un dont les opinions sont à louer. Le régime a besoin d’un membre de l’opposition pour détruire un autre membre de l’opposition, on fait appel à vous pour le sale boulot. En fait chers lecteurs, des gens comme Jonathan Ntoutoume-Ngome ne sont que des colporteurs, qui vendent leurs opinions d’officine en officine.

Mais l’expérience nous a prouvé depuis plus de 20 ans qu’Echos du Nord est un journal qui a de la valeur et dont les cadres sont solides et en ont vu passer d’autres. Même si les Jonathan Ntoutoume-Ngome n’hésitent pas aujourd’hui à vendre ceux qu’ils savent intègres, Echos du Nord survivra et il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas. Ceux qui se félicitent de la torture infligée aux innocents Gabonais, le paieront d’une manière ou d’une autre.

RAÏSSA OYASSEKO’S TESTIMONY. LE TÉMOIGNAGE DE RAÏSSA OYASSEKO

THE TORTURE SUBJECTED TO A NORD EDITION’S EMPLOYEE. LES TORTURES SUBIES PAR UNE EMPLOYÉE DE NORD ÉDITION

LESS FREEDOM, MORE VIOLENCE AGAINST JOURNALISTS: THAT’S THE WAY ALI BONGO WANTS IT. MOINS DE LIBERTÉ, PLUS DE VIOLENCE CONTRE LES JOURNALISTES: C'EST AINSI QU’ALI BONGO VOIT LES CHOSES

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Raïssa Oyasseko




English version

The headquarters of Nord Edition, the mother company to Echos du Nord, were invaded by Ali Bongo’s Militias, and all employees at the site at the time were arrested, and there is evidence that some were subjected to torture. Why such violence? Because that newspaper is among the rare ones voicing people's opinions and complaints against the Ali Bongo regime.

When Ali Bongo killed many Gabonese citizens in the aftermath of the presidential election, it was mostly Echos du Nord and a handful of independent newspapers that published the accounts of these massacres.

When Dr. Sylvie Nkoghe-Mbot was arrested, it was Echos du Nord and a handful of independent newspapers that let the word know that she was being arbitrarily detained.

The regime is using intimidation, arrests, violence and torture against Echos du Nord journalists, to try to discourage them from covering events in Gabon truthfully. It is a known fact that journalists in Gabon who attempt to do their job with integrity, are verbally insulted and threatened by the regime’s security forces, and often physically assaulted and even injured, by these same forces.

What the journalists of Echos du Nord have experience is the evidence that Ali Bongo is trying to institute in Gabon an Orwellian atmosphere in which only good news about his regime is tolerated. He wants to make it very hard for independent journalists as those of Echos du Nord, to maintain any level of professional standards and freedom of movement. He wants journalists to only report the positives without pointing out the weaknesses or what needs to be corrected about his regime. Any journalist not complying is subjected to harassment.

Surely the Gabonese people deserve better in terms of leadership and government. Ali Bongo and his cronies are thugs who have and will never have any use for the benefits of a free press. They can care less! Simply, they must go and leave us alone!




Version française

Le siège de Nord Edition, la société mère d'Echos du Nord, a été prise d’assaut par les milices d'Ali Bongo, et tous les employés présent sur le site ont été arrêtés ; et il y a des preuves que certains aient été soumis à la torture pendant leur détention. Pourquoi une telle violence? Parce que ce journal est parmi les rares qui expriment les opinions et les récriminations des Gabonais contre le régime Ali Bongo.

Quand Ali Bongo a tué de nombreux citoyens gabonais à la suite de l'élection présidentielle, ce sont surtout Echos du Nord et une poignée de journaux indépendants qui ont fait publication de ces massacres.

Lorsque le Dr. Sylvie Nkoghe-Mbot a été arrêtée, ce sont Echos du Nord et une poignée de journaux indépendants qui ont fait savoir au monde qu'elle était arbitrairement détenue.

Le régime se sert de l'intimidation, des arrestations, de la violence et de la torture contre les journalistes d'Echos du Nord, pour essayer de les décourager à couvrir les événements au Gabon avec sincérité. Il est connu que les journalistes au Gabon qui tentent de faire leur travail avec intégrité, sont insultés verbalement et menacés par les forces de sécurité du régime, et souvent agressés physiquement et même blessés par ces mêmes forces.

Ce que les journalistes d'Echos du Nord font l'expérience, est la preuve qu’Ali Bongo essaie d'instituer au Gabon une atmosphère orwellienne dans laquelle seules de bonnes nouvelles concernant son régime sont tolérées. Il veut rendre très difficile pour les journalistes indépendants, comme ceux d'Echos du Nord, de maintenir leur niveau de normes professionnelles et de liberté de mouvement. Il veut que les journalistes signalent seulement les points positifs sans signaler les faiblesses ou ce qui doit être corrigé au sujet de son régime. Tout journaliste qui ne se conforme pas est soumis au harcèlement.

Les Gabonais méritent certainement mieux en termes de leadership et de gouvernement. Ali Bongo et ses sbires sont des voyous qui ont et n'auront jamais aucune utilité pour les avantages d'une presse libre. Ils s’en foutent! Simplement, ils doivent partir et nous laisser tranquille!

MRS ESTELLE ONDO, DOES THE DEATH OF GABONESE PEOPLE MEAN ANYTHING TO YOU? MADAME ESTELLE ONDO, LA MORT DES GABONAIS A-T-ELLE UNE VALEUR POUR VOUS ?

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English version

The position of Mrs. Estelle Ondo, as published by Gabonreview, is simply outrageous, and frankly obscene in its non consideration for the value of Gabonese life.

Mrs. Estelle Ondo, now Minister of nothingness, in Ali Bongo’s bullshit government, dares ask the Gabonese people to turn the page and go dialogue with Ali Bongo. No, but is she right in the head? She comes to sell us the idea that it is this dialogue that will solve once and for all and finally, all the electoral problems of Gabon; but what is that lady smoking?

Does she think that we are stupid enough to believe that someone who has rigged so openly and scandalously the presidential election, would be intended to make concessions to us through dialogue? Someone who bombed the headquarters of his opponent would suddenly become Republican and set up a free and credible electoral process?

To go to Ali Bongo’s dialogue is to deny the will of the Gabonese people who spoke at the polls on 27 August 2016, and for which hundreds of compatriots were either killed, wounded, arrested or imprisoned.

Mrs. Estelle Ondo, on one side there is the dictator you have joined, on the other the Gabonese people who have a thirst for freedom. The purpose of your new ally, Ali Bongo, was to crush the will of the Gabonese people for freedom by spilling their blood; what can one talk about with such a character?

Mrs. Estelle Ondo if Ali Bongo had in him the slightest Republican fiber, he would never have needed to kill the Gabonese people to stay in power. What can we talk about with him?

Mrs. Estelle Ondo, what you propose to the Gabonese people is totally impossible; it's a lie, a scam. This blog does absolutely not want that, and says so here and now. Go to dialogue if you feel like it, and get all the concessions you want from Ali Bongo. As of us, we choose the path of resistance that seems most appropriate.

Mrs. Estelle Ondo should do we dialogue and leave in power a clearly identified terrorist who will not cease to exert repression and bloodshed upon the Gabonese people?

Mrs. Estelle Ondo, remember that we will not give up and that 2016 will not be 2009, because the dead have value for us!




Version française

La position de Madame Estelle Ondo, telle que publiée par Gabonreview, est simplement scandaleuse, et pour tout dire obscène de sa non considération de la valeur de la vie des Gabonais.

Madame Estelle Ondo, désormais Ministre de machin chouette, dans le gouvernent bidule truc d’Ali Bongo, ose venir demander aux Gabonais de tourner la page et aller dialoguer avec Ali Bongo. Non mais ça va la tête ? Elle vient nous vendre l’idée que c’est ce dialogue qui va régler une fois pour toute et enfin, tous les problèmes électoraux du Gabon ; mais qu’est-ce qu’elle fume cette dame ?

Nous croit-elle suffisamment stupides pour penser que quelqu’un qui a truqué si ouvertement et scandaleusement la présidentielle, aurait l’intention de nous faire des concessions par le dialogue ? Quelqu’un qui a bombardé le QG de son adversaire va soudainement devenir républicain et nous mettre en place un processus électoral libre et crédible ?

Aller au dialogue d’Ali Bongo, c’est nier la volonté du peuple Gabonais qui s’est exprimée dans les urnes le 27 Aout 2016, et pour laquelle des centaines de compatriotes ont été soit tués, blessés, arrêtés ou incarcérés.

Madame Estelle Ondo, d’un côté il y a le dictateur que vous avez rejoint, de l’autre le peuple Gabonais qui a soif de liberté. Le but de votre désormais allié, Ali Bongo, étaient d’écraser la volonté de liberté des Gabonais dans le sang ; de quoi peut-on dialoguer avec un tel personnage ?

Madame Estelle Ondo, si Ali Bongo avait en lui la moindre fibre républicaine, il n’aurait jamais eu besoin de tuer les gabonais pour se maintenir au pouvoir. De quoi peut-on dialoguer avec lui ?

Madame Estelle Ondo, ce que vous proposez aux Gabonais est totalement impossible, c’est un mensonge, une arnaque. Ce blog n’en veut absolument pas et le dit ici et maintenant. Allez au dialogue si l’envie vous chante, et obtenez toutes les concessions que vous voudrez d’Ali Bongo. En ce qui nous concerne, nous choisissons la voie de la résistance qui nous semble la plus appropriée.

Madame Estelle Ondo, doit-t-on dialoguer et laisser au pouvoir un terroriste clairement identifié qui n’aura de cesse de reprendre la répression et de faire couler le sang des Gabonais?

Madame Estelle Ondo, retenez que nous ne lâcherons rien et que 2016 ne sera pas 2009, car les morts ont de la valeur pour nous !

TV+ NEWSCAST. LE JOURNAL DE TV+

DEBATE ABOUT THE ROLE OF THE DIASPORA. DÉBAT SUR LE RÔLE LA DIASPORA

JEAN PING ON THE BBC. JEAN PING SUR LA BBC

ALI BONGO IS IMPAIRED BY THE WEAKNESS OF HIS PARTISANS BEFORE THE STRENGTH OF THE GABONESE DIASPORA. ALI BONGO EST CONTRARIÉ PAR LA FAIBLESSE DE SES PARTISANS DEVANT LA SOLIDITÉ DE LA DIASPORA GABONAISE

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English version

It's only a matter of a few days, everything will be back in order soon, could be heard in the headquarters of Ali Bongo after his confirmation by Mborantsuo. His staff reasoned based on the old paradigm from 1993 of announcing false election results, quell any protest to this fait accompli by bloodletting and buy opponents for their return in the ranks, through a fools dialogue. But their calculations were countered by the strength of the Gabonese diaspora scattered around the world.

Ali Bongo likes to show himself in major capitals: London, Paris, Washington, Ottawa, Rome, Berlin, etc...; but the problem is that the Gabonese diaspora also has access to these capitals that are located in democratic countries and thus giving free rein to the popular expression.

For Ali Bongo to be legitimized, he must travel and move among the other heads of state. But he knows that wherever he goes in important countries, there will be a reception committee of the diaspora that will remind everyone of the monstrosities levelled upon the Gabonese people by Ali Bongo; and of that he is terrified.

Ali Bongo can always go visit his friend the King of Morocco, or the King of Rwanda, Kagame; or that of Chad, Idriss Deby; and why not the various monarchs of the sub-region of Central Africa; but unfortunately it is not the visit of such capitals he likes best.

For now, Ali Bongo is confined to his palace, waiting for the Gabonese diaspora to calm down. He has bet large sums of money to provoke the collapse of this diaspora. For now, it is holding well; to the point that Ali Bongo lashed out at his supporters in western embassies, accusing them of not having anticipated the robustness of this diaspora and taken the lead for its mobilization never to takes shape.

But it is too late, the diaspora will not relinquish anything. If Ali Bongo dares point his nose in a Western capital, he will know, live, that the Gabonese diaspora thinks of him.




Version française

Ce n’est qu’une question de quelques jours, tout rentrera très vite dans l’ordre, pouvait-on entendre dire dans l’état-major d’Ali Bongo, après sa confirmation par Mborantsuo. Cet état-major raisonnait sur la base du vieux paradigme datant de 1993, consistant à annoncer de faux résultats électoraux, mater dans le sang toute opposition à ce fait accompli et acheter les opposants pour qu’ils rentrent dans les rangs, par le truchement d’un dialogue de dupes. Mais leurs calculs ont été contrés par la robustesse de la diaspora Gabonaise disséminée aux quatre coins du monde.

Ali Bongo aime se montrer dans les grandes capitales : Londres, Paris, Washington, Ottawa, Rome, Berlin, etc… ; mais son problème est que la diaspora Gabonaise aussi a accès à ces capitales qui sont situées dans des pays démocratiques et donc laissant libre court à l’expression populaire.

Pour qu’Ali Bongo soit légitimé, il lui faut voyager et se mouvoir parmi les autres Chefs d’Etat. Mais il sait que partout où il ira dans les grands pays, il y aura un comité d’accueil de la diaspora qui rappellera à tout le monde les monstruosités qui ont été faites au peuple Gabonais par Ali Bongo ; et de cela il en est terrifié.

Ali Bongo peut toujours aller rendre visite à son ami le Roi du Maroc, ou au Roi du Rwanda, Kagame ; ou encore à celui du Tchad, Idriss Deby ; et pourquoi pas aux divers monarques de la sous-région d’Afrique-Centrale ; mais malheureusement, ce ne sont pas les visites dans ces capitales qu’il affectionne le mieux.

Pour l’instant Ali Bongo est confiné dans son palais, attendant que la diaspora Gabonaise se calme. Il a misé d’importantes sommes d’argents pour provoquer l’éclatement de cette diaspora. Pour l’instant, elle tient bon ; à tel point qu’Ali Bongo s’en est pris à ses partisans dans les ambassades occidentales, qu’il accuse de ne pas avoir anticipé la robustesse de cette diaspora et pris les devants pour que sa mobilisation ne prenne forme.

Mais il est trop tard, la diaspora ne lâchera rien. Si Ali Bongo ose pointer son nez dans une capitale occidentale, il saura, en direct, ce que la diaspora Gabonaise pense de lui.

JEAN PING AT THE COMMISSION OF THE EUROPEAN UNION. JEAN PING À LA COMMISSION DE L’UNION EUROPÉENNE

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