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Channel: "LE GABON ENERVANT" OR "ANNOYING GABON"
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IN HONOR OF BÉRANGER OBAME NTOUTOUME: "BLACK PEOPLE" BY DAVID DIOP. EN HOMMAGE À BÉRANGER OBAME NDOUTOUME: « PEUPLE NOIR » DE DAVID DIOP

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Beranger Obame Ndoutoume


Peuple Noir de David Diop


Le peuple que l’on traüne 
Traßne et promÚne et déchaßne à travers les théùtres électoraux 
Le peuple que l’on jette en pñture 
Dans les champs avides de boucherie 
Le peuple qui se tait 
Quand il doit hurler 
Qui hurle quand il doit se taire 
Le peuple lourd de siÚcle de servitude 
Sur ses épaules de bon géant 
Le peuple que l’on caresse 
Comme le serpent caresse sa proie

Mais le peuple qui se soulÚve 
Se redresse 
Se cabre 
Le peuple qui saura se venger

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A SOUTH AFRICAN INVESTIGATION REVEALS THAT GABON AND THAT COUNTRY HAVE THE LEAST EFFECTIVE HEALTH CARE SYSTEM! UNE ENQUÊTE SUD-AFRICAINE REVÈLE QUE LE GABON ET CE PAYS ONT LES MOINS EFFICACES SYSTÈME DE SANTÉ

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To read the article click here


Version française

L’étude en question a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e Ă  partir des donnĂ©es collectĂ©es par la publication The Economist, prenant en compte des facteurs tels que l’espĂ©rance de vie, la mortalitĂ© infantile, les revenues du pays, la population, etc., pour calculer classement des systĂšmes de santĂ© de tous les pays du monde. Le principe de ce classement Ă©tait simple; il mesurait les rĂ©sultats des systĂšmes de santĂ©, le nombre d’hĂŽpitaux, l’accĂšs aux soins et les autres facteurs dĂ©jĂ  mentionnĂ©s, en fonction aux revenues de ces pays et Ă  leurs dĂ©penses dĂ©clarĂ©es pour la santĂ©.

Les rĂ©sultats de l’Afrique du Sud et du Gabon Ă©taient les moins performants. Si on peut comprendre que le systĂšme de santĂ© Sud-Africain soit dĂ©sĂ©quilibrĂ© Ă  cause de l’expĂ©rience de l’apartheid qui avait laissĂ© la majoritĂ© de la population, les noirs, hors du systĂšme de santĂ©, qu’est ce qui explique les mauvais rĂ©sultats du Gabon, avec sa faible population et ses Ă©normes ressources pĂ©troliĂšres ?
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ONE SIMPLE LITTLE QUESTION TO THE INTERIOR MINISTER. UNE SIMPLE PETITE QUESTION AU MINISTRE DE L’INTERIEUR

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PacĂŽme Moubelet-Boubeya at the center
PacĂŽme Moubelet-Boubeya au centre
Photo: Gabonreview




English version

In an interview on Radio Gabon, Ali Bongo’s Interior Minister, PacĂŽme Moubelet-Boubeya, said that the women traders and the late compatriot BĂ©renger Obame Ndoutoume, were illegally occupying public roads, which earned them trouble with the police. Well then! Let us assume that the Gabonese authorities are in a logic of the orthodox application of law and order, without deviating one iota from the rules. So we would like the minister to answer the following question:

If occupying a small portion of public road in Gabon, for the purpose of running a small business is liable to receive the wrath of law enforcement, parading traders naked and causing the death of a compatriot trader within the confines of their central police station, what punishment should be given in Gabon to an individual using fake documents to run in a presidential election?

We will wait for the answer!



Version française

Lors d’une interview diffusĂ©e sur Radio Gabon, le ministre de l’IntĂ©rieur d’Ali Bongo, PacĂŽme Moubelet-Boubeya, a dit que les femmes commerçantes Gabonaises et le regrettĂ© BĂ©renger Obame Ndoutoume, occupaient illĂ©galement la voie publique, ce qui leur a valu les dĂ©mĂȘlĂ©es avec les forces de l’ordre. TrĂšs bien ! Admettons que les autoritĂ©s gabonaises soient dans une logique de l’application orthodoxe de la loi et de l’ordre, sans dĂ©roger d’un iota aux rĂšgles. Alors, nous aimerions que ce ministre rĂ©ponde Ă  la question suivante :

Si occuper une petite portion de voie publique au Gabon pour faire un petit commerce est passible de recevoir les foudres des forces de l’ordre, paradant les commerçantes nues et causant la mort d’un compatriote commerçant dans l’enceinte de leur commissariat centrale, quel chĂątiment devrait-on rĂ©server au Gabon Ă  un individu utilisant des faux papiers pour se prĂ©senter Ă  une Ă©lection prĂ©sidentielle ?

Nous attendons la réponse !
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ALI BONGO’S INTERIOR MINISTER TRIES TO JUSTIFY THE POLICE STATE. LE MINISTRE DE L’INTERIEUR D’ALI BONGO TENTE DE JUSTIFIER L’ÉTAT POLICIER

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Photo: Gabonreview




English version

While the Gabonese Police collects cases of abuse, while its agents are known for their pronounced taste for alcohol and asking for payment of bribes to peaceful traders, the interior minister in an interview on Radio Gabon, came to confirm that this police was only at the image of those who run Gabon.

The name of Beranger Ntoutoume Obame and the images of brutalized naked women traders, have become synonymous with the worst abuses of the Gabonese police. Since then, tongues have loosened, and many Gabonese are openly expressing their disgust with what the police subjects them to.

In his interview, PacĂŽme Moubelet-Boubeya talks about trivialities instead of what is essential. He said for example that corrupt police officers are only one small part of this police force. This statement is false because all Gabonese know that:

1. Appalling working conditions often dictate within the police force an unbridled corruption to make ends meet. The principle by which the Gabonese Police officers extort money from motorists at road side checks before letting them go, has become so common that it is now routine. It is a widespread practice, not the fact of a handful of agents.

2. Meager wages often force police officers to resort to bribes with the approval of their superiors with whom they share the spoils. Racketeering is not an isolated practice, but a business encouraged by the police hierarchy.

3. All announcements of investigations remain without follow-up, proving that these investigations are fictitious because no one is ever arrested (ritual crimes, economic crimes, etc.)

4. The arrests of innocent people like Annie Meye, while the real criminals are left free. The Gabonese police reassures no one because its attitude towards the citizen is more than worrisome.

Another lie by PacĂŽme Moubelet-Boubeya is his assertion that international standards require a rate of 1000 police officers per 100,000 people, which would give 18,000 policemen to the Gabonese population excessively valued at 1.8 million. In fact no country in the world reaches 1000 police officers per 100,000 inhabitants. The University of Sherbrooke in Canada published a study on the number of police officers per 100,000 inhabitants in all countries of the world. You can see the figures of this study by clicking here.

With supervision like this, it is not surprising that the Gabonese police are in a state of falling apart!



Version française

Alors que la police gabonaise accumule des bavures, alors que ses agents sont connus pour leur alcoolisme et gout prononcĂ© pour exiger le paiement de pots de vin aux paisibles commerçants, le ministre de l’intĂ©rieur dans une interview sur Radio Gabon, est venu confirmer que cette police n’était qu’à l’image de ceux qui dirigent le Gabon.

Le nom de Beranger Obame Ndoutoume et les images des femmes commerçantes nues et brutalisĂ©es, sont devenus synonymes des pires abus de la police gabonaise. Depuis, les langues se dĂ©lient et nombreux sont les Gabonais qui expriment ouvertement leur Ă©cƓurement face Ă  ce que la police leur fait subir.

Dans son interview, PacĂŽme Moubelet-Boubeya parle de futilitĂ©s au lieu de l’essentiel. Il dit par exemple que les policiers vĂ©reux ne forment qu’une infime partie de cette police. Cette affirmation est fausse car tous les gabonais savent que :

1. Des conditions de travail Ă©pouvantables imposent souvent au sein des forces de police une corruption dĂ©bridĂ©e pour arrondir les fins de mois. Le principe par lequel les agents de la police gabonaise extorquent de l’argent aux automobilistes lors des contrĂŽles routiers, avant de les laisser repartir, est devenu tellement courant qu’il est dĂ©sormais banal. C’est une pratique gĂ©nĂ©ralisĂ©e et non le fait d’une poignĂ©e d’agents.

2. Les maigres salaires obligent souvent les policiers Ă  recourir aux pots-de-vin avec l’aval de leur hiĂ©rarchie avec laquelle ils partagent le butin. Le racket n’est pas une pratique isolĂ©e, mais un business encouragĂ© par la hiĂ©rarchie policiĂšre.

3. Toutes les annonces d’ouverture d’enquĂȘtes restent sans suite, prouvant que ces enquĂȘtes sont fictives car jamais personne n’est interpellĂ©e (crimes rituels, crimes Ă©conomiques etc.)

4. Les arrestations d’innocents comme Annie Meye, alors que les vrais criminels sont en libertĂ©s. La police Gabonaise ne rassure personne car son attitude envers le citoyen est plus qu’inquiĂ©tante.

Un autre mensonge de PacĂŽme Moubelet-Boubeya est son affirmation que les standards internationaux exigent un taux de 1000 policiers pour 100000 habitants, ce qui donnerait 18000 policiers pour la population Gabonaise exagĂ©rĂ©ment Ă©valuĂ©e Ă  1,8 million. En fait aucun pays au monde n’atteint 1000 policiers pour 100000 habitants. L’universitĂ© de Sherbrooke au Canada a publiĂ© une Ă©tude du nombre de policiers pour 100000 habitants dans tous les pays du monde. Vous pouvez consulter les chiffres de cette Ă©tude en cliquant ici.

Avec une tutelle comme celle-ci, comment s’étonner que la police gabonaise soit dans un Ă©tat de dĂ©crĂ©pitude !
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ECHOS DU NORD

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THE BBC SPEAKS ABOUT THE VIDEO OF WOMEN TRADERS ABUSED BY THE GABONESE POLICE. LA BBC PARLE DE LA VIDÉO DES FEMMES COMMERÇANTE MALTRAITÉES PAR LA POLICE GABONAISE

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THE ALI BONGO’S REGIME IS SINKING MORE INTO DESPERATE SCRAMBLE AND DISHONESTY. LE RÉGIME ALI BONGO S’ENFONCE DE PLUS BELLE DANS LE CAFOUILLAGE ET LA MALHONNÊTETÉ

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Screenshot of the doctored video published by the regime
Capture d’écran du montage vidĂ©o publiĂ© par le rĂ©gime
(Image : Gabonreview)



English version

Under the pretext of responding to many questions being asked by Gabonese and observers about recent police misconduct that have seen these forces commit abuse against peaceful merchants, causing one death and the incredible arrest of women traders in the nude, the regime has published another video, which is obviously intended to discredit these women and strengthen the argument of the regime saying that "these women did strip naked by themselves." But if the regime thinks that by publishing this fantasy video, it will repair its image given the recent blunders by its police officers, they are mistaken!

This new video is only the expression of a vain attempt at disinformation made by the regime to once more disguise the truth. We had already seen, when the murder of Bruno Mboulou Beka occurred, a similar video, truncated and doctored to bring the viewer toward conclusions that went along with the regime’ story. The new video comes out of the same "studios". The only thing missing is the interview with the toothless "Bobo", claiming to have participated in the meetings of these women traders, who were plotting against the regime and the security of the Gabonese people, on the orders of a particular politician of the opposition...

This type of propaganda video, whose images and narrative are invariably gimmicky and simplistic, is so obviously dishonest that no one in possession of mental faculties can give it any credit! Instead of trying to find real solutions to the problem of extortion that plagues the police force, the regime produces shameful video editing with a partisan narrative, to try to justify these abuses. For example, the edited video presented by the regime, places children in same perimeter as the naked women; perimeter however, completely encircled by police trucks. The question that any reasonable person should ask is how children carrying umbrellas, found themselves at the center of this perimeter that was surrounded by police? These same children are absent from the first video, although filmed in the same place and around the same trucks. This stuff is so crude that we would laugh if the subject was not so serious! These children were placed there to simply say, "these women did strip naked in front of children!" The question that should be asked however is: “if the police was encircling the perimeter, how could these children break police barriers?

Fortunately, in the spaces of freedom that are primarily the Internet and some free newspapers, we can defeat these bungling attempts of the regime. Where the regime is spewing an obviously ridiculously propaganda, let us oppose the indomitable ferocity of facts, logic and truth! Often the truth is far from the tone and content of the official media.

While Gabonese people expect that the regime to stop the murderous impunity surrounding ritual crimes, the arbitrariness of law enforcement that ruins traders; the regime has chosen the play ostrich instead of responding responsibly to these emergencies. The Ali Bongo’s regime in an effort to extend its grip on the political sphere of the country, vainly seeks to impose its model of authoritarian governance by lies, manipulation and dishonesty.

Current events in Gabon are accelerating and demonstrate the awareness of an increasingly number of Gabonese on the need for the recovery of political power by a regime from the people. Faced with the Gabonese population, the Ali Bongo’s regime remains in a destructive logic, wanting any hint of resistance to be annihilated in the bud.

We must break this cycle and bring down this regime, by working together to fix this Gabon which has become a perforated jar, which loses its substance from all sides! The regime cannot continue to want to blame its own excesses and shortcomings to a population already sick and tired. This must stop!



Version française

Au prĂ©texte de rĂ©pondre aux nombreuses interrogations des Gabonais et des observateurs, face aux rĂ©centes bavures policiĂšres qui ont vu ces forces commettre des exactions contre de paisibles commerçants, au point d’entrainer une mort d’homme et l’arrestation rocambolesque de femmes commerçantes en tenue d’Ève, le rĂ©gime vient publier une autre vidĂ©o, dont le but est manifestement de discrĂ©diter ces femmes et de renforcer l’argument du rĂ©gime selon lequel : « ces femmes se seraient dĂ©shabillĂ©es toutes seules ». Mais si le rĂ©gime pense qu’en publiant cette vidĂ©o fantaisiste, il rĂ©parera les rĂ©centes gaffes de ses policiers, il se trompe!

Cette nouvelle vidĂ©o n’est que l’expression d’une vaine tentative de dĂ©sinformation, faite par le rĂ©gime pour travestir une fois de plus de vĂ©ritĂ©. Nous avions dĂ©jĂ  vu lors de l’assassinat de Bruno Mboulou Beka, une vidĂ©o semblable, tronquĂ©e et trafiquĂ©e, pour amener le spectateur vers des conclusions qui arrangeaient le rĂ©gime. Cette nouvelle vidĂ©o sort des mĂȘmes « studios ». Il n’y manque que l’interview de « Bobo » l’édentĂ©, affirmant avoir participĂ© aux rĂ©unions de ces femmes commerçantes, qui complotaient contre le rĂ©gime et la sĂ©curitĂ© des Gabonais, sur les ordres de tel ou tel homme politique de l’opposition


Ce type de vidĂ©o propagandiste, dont les images et la narration sont invariablement racoleuses et simplistes, est si visiblement malhonnĂȘte que nul en possession de facultĂ©s mentales, ne saurait lui accorder tout crĂ©dit ! Au lieu de chercher Ă  trouver des vraies solutions au problĂšme du racket qui gangrĂšne ses forces de police, le rĂ©gime rĂ©alise de honteux montages vidĂ©o avec une narration partisane, pour tenter de justifier ces bavures. Par exemple, le montage vidĂ©o prĂ©sentĂ© par le rĂ©gime place des enfants dans le pĂ©rimĂštre de ces femmes dĂ©nudĂ©es ; pĂ©rimĂštre complĂštement encerclĂ© par les camions de la police. La question que toute personne raisonnable devrait poser est celle de savoir comment des enfants munis de parapluies, se sont retrouvĂ©s au centre de ce pĂ©rimĂštre qui Ă©tait encerclĂ© par la police ? Ces mĂȘmes enfants sont absents de la premiĂšre vidĂ©o, pourtant filmĂ©e au mĂȘme endroit et autour des mĂȘmes camions. C’est tellement grossier tout ça qu’on en rigolerait, si le sujet n’était pas si sĂ©rieux ! Ces enfants ont Ă©tĂ© placĂ©s lĂ  pour simplement dire : « ces femmes se sont dĂ©shabillĂ©es devant des enfants ! » Mais la question qu’on devrait poser demeure la suivante : « si la police encerclait le pĂ©rimĂštre, comment des enfants ont pu briser les barriĂšres policiĂšres ? »

Heureusement, dans les espaces de libertĂ©s que sont principalement internet et certains journaux libres, nous pouvons faire Ă©chec Ă  ces tentatives de cafouillages du rĂ©gime. LĂ  oĂč le rĂ©gime prĂ©sente une propagande ridiculement Ă©vidente, opposons-lui la fĂ©rocitĂ© irrĂ©ductible des faits, de la logique et de la vĂ©ritĂ© ! Une vĂ©ritĂ© souvent forte Ă©loignĂ©e du ton et du contenu des mĂ©dias officiels.

Alors que les populations Gabonaises attendent que le rĂ©gime enraille l'impunitĂ© meurtriĂšre qui entoure les crimes rituels, l'arbitraire des forces de l'ordre qui ruine des commerçants ; le rĂ©gime choisi la fuite en avant au lieu de rĂ©pondre de maniĂšre responsable Ă  ces situations d'urgence. Le rĂ©gime Ali Bongo dans un effort de prolongement de sa main mise sur la sphĂšre politique du pays, cherche vainement Ă  imposer son modĂšle de gouvernance autoritaire par le mensonge, la manipulation et la malhonnĂȘtetĂ©.

Les Ă©vĂ©nements en cours au Gabon, s’accĂ©lĂšrent et dĂ©montrent la prise de conscience d’un nombre de plus en plus important de Gabonais sur la nĂ©cessitĂ© de rĂ©cupĂ©ration du pouvoir politique par un rĂ©gime issu du peuple. Face Ă  la population Gabonaise, le rĂ©gime Ali Bongo demeure dans une logique de finalitĂ© destructrice, voulant que toute vellĂ©itĂ© de rĂ©sistance soit annihilĂ©e dans l’Ɠuf.

Nous devons briser ce cycle et faire tomber ce régime, en travaillant ensemble pour réparer ce Gabon qui est devenu une jarre trouée, qui perd de sa substance de toute part! Le régime ne peut pas continuer de vouloir faire porter le chapeau de ses propres dérives et travers, à une population déjà suffisamment éprouvée. Cela doit cesser !
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THE BONGOS EXTRAVAGANCE HIGHLIGHTED IN THE TRAVCON CASE. L’EXTRAVAGANCE DES BONGO EST MISE EN ÉVIDENCE DANS L’AFFAIRE TRAVCON

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English version

Travcon is a Swiss luxury private jet company, established in 2002 by Philipp ZĂŒrcher. It is a family owned operation that provides jets for the rich and famous around the world. The publication Africa Intelligence reports that Omar and Ali Bongo have been customers of Travcon since 2006. The Bongos still owe Travcon 11 million dollars in unpaid bill; money that company is suing to recover. The matter is being handled by the courts.

This November, the Swiss justice system has approved the Travcon lawsuit against the Bongos. Africa Intelligence says that Ali and Omar Bongo did spend a total of 125 million dollars with Travcon from 2006 to 2011. This included a 4.3 million dollars for a single trip to China. It is also mentioned that Omar Bongo was using a Travcon Boeing 777 VIP, almost every weekend to go visit his sick wife, at a cost of 2 million dollars per trip.

Africa Intelligence reveals that when Omar Bongo died, his son Ali Bongo continued the practice of hiring Travcon jets, but he was no longer paying the bills. The arears started to accumulate, totaling 11 million dollars. It is said that Travcon is determined to recover the unpaid amount and curiously, it is Serge Abessolo who is the intermediary between Gabon and Travcon.

Travcon has promised that when Ali Bongo will pay the full 11 million dollars, it will donate 1 million to charities such as UNICEF and Save the Children. This story is evolving and we will keep you posted. But it is sad to see that while the women traders are being harassed by the police, and those wanting to sell their good on the market, such as Beranger Obame Ndoutoume, have to lose their life for trying to make a living, the Bongos are wasting the Gabonese people’s money unnecessarily. This must stop!



Version française

Travcon est une sociĂ©tĂ© suisse de jets privĂ©s de luxe, créée en 2002 par Philipp ZĂŒrcher. C’est une opĂ©ration familiale qui fournit des jets aux gens riches et cĂ©lĂšbres du monde entier. La publication Africa Intelligence rapporte qu’Omar et Ali Bongo ont Ă©tĂ© clients de Travcon depuis 2006. Les Bongo devraient encore Ă  Travcon 11 millions de dollars, en factures impayĂ©es; argent que cette entreprise essaie de rĂ©cupĂ©rer. L'affaire est devant les tribunaux.

En ce mois de Novembre, le systĂšme judiciaire suisse a approuvĂ© la poursuite de Travcon contre les Bongo. Africa Intelligence dit qu’Ali et Omar Bongo ont dĂ©pensĂ© un total de 125 millions de dollars chez Travcon entre 2006 et 2011. Ces dĂ©penses comprenaient 4,3 millions de dollars pour un seul voyage en Chine. Il est Ă©galement mentionnĂ© qu’Omar Bongo utilisait un Boeing 777 VIP de Travcon, presque chaque week-end, pour aller rendre visite Ă  sa femme malade; moyennant un coĂ»t de 2 millions de dollars par voyage.

Africa Intelligence rĂ©vĂšle qu’à la mort d’Omar Bongo, son fils Ali Bongo a continuĂ© la pratique de location des jets de Travcon, mais il ne payait plus les factures. Les arriĂ©rĂ©s ont commencĂ© Ă  s'accumuler, totalisant 11 millions de dollars. Il est dit que Travcon est dĂ©terminĂ© Ă  recouvrer le montant impayĂ© et curieusement, c’est Serge Abessolo qui est l'intermĂ©diaire entre le Gabon et Travcon.

Travcon a promis que suite au paiement par Ali Bongo de la totalitĂ© des 11 millions de dollars, il ferait un don de 1 million Ă  des organisations caritatives telles que l'UNICEF et Save the Children. Cette histoire est en cours et nous vous en tiendrons au courant. Mais il est triste de constater qu’alors que les femmes commerçantes sont harcelĂ©es par la police, et ceux qui veulent vendre leur marchandise sur la place du marchĂ©, comme BĂ©ranger Obame Ndoutoume, peuvent ĂȘtre tuĂ©s en essayant de gagner leur vie, les Bongo eux gaspillent l'argent du peuple Gabonais inutilement. Cela doit cesser!
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CONTESTATION ENTERS THE MASONIC RANKS! LA CONTESTATION GAGNE LE MILIEU MAÇONNIQUE !

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English version

La Lettre du Continent confirms the ubiquity of Freemasonry in the Gabonese political environment; be it on the side of the regime or the opposition. This publication tells us that some opposition circles to Ali Bongo have decided to create a rival lodges to the Grand Lodge of Gabon, they would call the Lodge of the "Friends of Mba Germain."

La Lettre du Continent says that similar to the current contestation within the PDG, several members of the Grand Lodge of Gabon have recently resigned from this obedience led by Ali Bongo and Maixent Accrombessi. These resignations are due to their refusal to continue to observe the duty of obedience and therefore blind submission to Ali Bongo. Those who have resigned are alleged to have joined the ranks of a new obedience ironically called lodge of the "friends of Germain Mba."

This new lodge named after the Gabonese diplomat assassinated in 1971, has been created by several dissident "brothers" among whom Paul Toungui and Eugene Boundono-Simangoye, and it has recently been legally registered in Paris. But, says La Lettre du Continent, its registration in Gabon is encountering the refusal of the authorities under the control of Ali Bongo. But La Lettre du Continent also says that members of the new lodges have already declared their support for Jean Ping for the presidency in 2016.

This information from La Lettre du Continent leads us to ask whether we should conclude that membership in a Masonic organization is absolutely necessary for directing or practicing politics in Françafrique, on the side of those in power or of the opposition? The strategy implemented since colonial times, which was to impose Freemasonry in Francophone Africa, therefore continues to perform very well. Freemasonry is used in francophone Africa to channel elites and make them subject to an established order, with a small payoff of a place in the sun. The Freemasons are both in power and in the opposition in Africa, a pervasiveness that allows them to block the momentum of freedom and true liberation of the people.

Freemasonry is therefore essentially in Africa, a regulatory instrument for maintaining a desired and established order. The main function of Freemasonry is to serve as a springboard for African elite patronage, allowing their cooptation and hence their control. This African Freemasonry is hierarchical in the image of the State; headed by the head of state and as lieutenants in the order of importance: ministers, senior executives, businessmen, academics and so on... The aim of this system is very simple: to establish an operating structure of the country which always favors the looting of its wealth, regardless of the person who would come to power.

Freemasonry in Africa is nothing more than an economic mafia; a looting a network. Nothing more, nothing less. Provided that the likes of Ali Bongo are devoid of any popular legitimacy, they rely on the Masonic tangle they control, to maintain themselves in power. It is toward the lodges that Ali Bongo turns when he is in trouble, both politically and legally or for business reasons. He offers to his northern masonic brothers, operating contracts of exploitation of Gabonese wealth that cement these ties. In return, these brothers help him with Holland, with the French judicial system etc.

But dear readers, remember one thing: there is no power, masonic or otherwise, that can intimidate and forever hold down a people who have decided to overcome and be free. We must make our choice now!


Version française

La Lettre du Continent confirme l’omniprĂ©sence de la franc-maçonnerie dans le milieu politique gabonais, qu’on parle du pouvoir ou de l’opposition. Cette publication nous apprend que certains milieux d’opposition Ă  Ali Bongo auraient dĂ©cidĂ© de crĂ©er une loge rivale de la Grande Loge du Gabon, qu’ils appelleraient la loge « des amis de Germain Mba ».

La Lettre du Continent nous dit que similaire Ă  la fronde en cours au PDG, plusieurs membres de la Grande Loge du Gabon auraient dĂ©missionnĂ© rĂ©cemment de cette obĂ©dience dirigĂ©e par Ali Bongo et Maixent Accrombessi. Ces dĂ©missions seraient dues aux refus de ces derniers de continuer Ă  observer le devoir d’obĂ©dience et donc d’obĂ©issance aveugle Ă  Ali Bongo. Les dĂ©missionnaires seraient allĂ©s joindre les rangs d’une nouvelle obĂ©dience appelĂ©e ironiquement loge « des amis de Germain Mba ».

Cette nouvelle loge portant le nom du diplomate Gabonais assassinĂ© en 1971, aurait Ă©tĂ© créée par plusieurs « frĂšres » dissidents dont Paul Toungui et Eugene Boundono-Simangoye, et elle vient d’ĂȘtre juridiquement enregistrĂ©e Ă  Paris. Mais, nous dit La Lettre du Continent, son enregistrement au Gabon se heurte au refus des autoritĂ©s sous la coupe d’Ali Bongo. Mais La Lettre du Continent nous dit aussi que les membres de cette nouvelle loge auraient dĂ©jĂ  dĂ©clarĂ© leur soutien Ă  Jean Ping pour la prĂ©sidentielle 2016.

Ces informations de La Lettre du Continent nous amĂšnent Ă  nous demander s’il faudrait conclure qu’il faille absolument ĂȘtre membre d’une obĂ©dience maçonnique pour diriger ou faire de la politique en françafrique, que l’on soit du pouvoir ou de l’opposition? La stratĂ©gie mise en place depuis la coloniale, qui a consistĂ© Ă  imposer la franc-maçonnerie en Afrique francophone, continue donc de fonctionner Ă  merveille. La franc-maçonnerie est utilisĂ©e en Afrique francophone pour canaliser les Ă©lites et les rendre soumises Ă  un ordre Ă©tabli, moyennant en retour une petite place au soleil. Les francs-maçons sont donc aussi bien au pouvoir que dans les oppositions en Afrique, une omniprĂ©sence qui leur permet de bloquer l’élan de libertĂ© et d’affranchissement vĂ©ritable des peuples.

La franc-maçonnerie est donc principalement en Afrique, un instrument rĂ©gulateur du maintien d’un ordre dĂ©sirĂ© et Ă©tabli. La principale fonction de la franc-maçonnerie est de servir de tremplin clientĂ©liste aux Ă©lites africaines, permettant ainsi leur cooptation et par lĂ , leur contrĂŽle. Cette franc-maçonnerie africaine est hiĂ©rarchisĂ©e Ă  l’image de l’Etat ; avec Ă  leur tĂȘte le chef d’Etat et comme lieutenants, dans l’ordre d’importance, les ministres, les hauts cadres, les hommes d’affaires, les universitaires et ainsi de suite
 L’objectif de ce systĂšme est trĂšs simple : mettre en place une structure de fonctionnement du pays qui favorisera toujours le pillage de ses richesses, quelle que soit la personne qui arriverait au pouvoir.

La franc-maçonnerie en Afrique n’est rien d’autre qu’une mafia Ă©conomique ; qu’un rĂ©seau de pillage. Rien de plus, rien de moins. Etant entendu que des gens comme Ali Bongo soient dĂ©pourvues de toute lĂ©gitimitĂ© populaire, ils ne comptent que sur l’enchevĂȘtrement maçonnique qu’ils contrĂŽlent pour se maintenir au pouvoir. C’est vers les loges qu’Ali Bongo se tourne quand il est en difficultĂ©, aussi bien politique que juridique ou d’affaires. Il offre Ă  ses frĂšres francs-maçons du nord, des contrats d’exploitation des richesses gabonaises qui cimentent ces liens. En retour, ces frĂšres l’aident auprĂšs de Hollande, auprĂšs de la justice française etc.

Mais chers lecteurs, souvenez-vous d’une chose : aucun pouvoir fut-il maçonnique, ne peut intimider et contenir Ă©ternellement un peuple qui a dĂ©cidĂ© de s’affranchir. Nous devons faire notre choix dĂšs maintenant !
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TESTIMONY AGAINST THE RACKET SET UP BY HIGH RANKING LAW ENFORCEMENT AUTHORITIES. TÉMOIGNAGE CONTRE LE RACKET MIS EN PLACE PAR LES HAUTES AUTORITÉS POLICIÈRES

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THE SUFFERING OF KIDS CONTINUES IN TOTAL IMPUNITY! LE SUPPLICE DES ENFANTS CONTINUE DANS L’IMPUNITÉ LA PLUS TOTALE!

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The late Ndong Mba Minko
Le regretté Ndong Mba Minko








English version,

His surname was Ndong Mba Minko
He was 14 years old
He was a student in Sony Labou Tansy high school in Libreville
He disappeared after his sports training on the playground located opposite the former site of Jeanne Ebori hospital on Monday, 9 November 2015, at around 5:30 pm.
His lifeless body was later found on the beach at the Sabliere area; the murderers having completed their prior removal of organs.
Another ritual crime had been committed against an innocent child.

The broad daylight abduction of the child took place within 500 meters from the headquarters of the Catholic Church in Gabon, a church whose leadership openly associates with those who protect the sponsors of these crimes. A church that does not hesitate to join the sponsors to organize scandalous marches pretending to fight these crimes, as the same sponsors and accomplices of this church arrest actors of the civil society wanting to protest against these crimes in a citizen and sincere way.

To date, no serious sponsor of these crimes has been arrested and brought to justice; and the Catholic Church has never imposed on its allies in power to demonstrate their seriousness at solving these crimes. Worse, the Catholic Church serves as a cover to those in power, being a shield for hypocrite marches.

The young Ndang Mba Minko was kidnapped in broad daylight, which proves that the executioners of such dirty work have no fear of being arrested, knowing that they are protected by the highest authorities who are the consumers of these taken organs. There are formal testimonies from people who narrowly escaped these monsters, that would allow a competent police to trace back these networks; but nobody wants these networks to be dismantled.

Given the impunity that characterizes these abductions, disappearances and murders with the objective of removing organs, the sponsors necessarily have protection ties with those in power. Some in the Gabonese ruling class are so superstitious as to think that some children body parts have supernatural powers that in the hands of a wizard, would enable their holders to take a shortcut to material success.

These are the people who have opened the hunt for Gabonese children. The people who are promising progress and modernity to the Gabonese people are themselves killers who dismember children. What progress can they engender in Gabon? These people are responsible for the depth of evil that engulfs Gabon. Those who need blood to power their occult rituals, have struck again; they have snatched the live of the young Ndang Mba Minko, whose only crime was to find himself in the wrong place at the wrong time. This could have happened to any child. The sponsors are so determined to obtain this blood and these organs that they are now going into people's homes in search of their raw material.

The regime should avoid coming to tell us of the opening of another investigation that will go nowhere. An investigation where facts will accumulate but where no lead would ever really be defined. Yet another investigation that will never succeed.

The young Ndang Mba Minko deserves to have justice and not a sham or a lie. The hunt for human beings in Gabon is heavy on our heart and puts our emotions to the test. We must do everything so that this genocide taking place before our eyes is stopped! We must cleanse ourselves of that Gabon totally corrupt and defective.


Version française

Son nom de famille était Ndang Mba Minko
Il était ùgé de 14 ans
Il était élÚve en classe de 4iÚme au collÚge Sony Labou Tansy de Libreville
Il avait disparu aprĂšs ses entrainements de sports sur le terrain de jeu situĂ© face Ă  l’ancien emplacement de l’hĂŽpital Jeanne Ebori, le Lundi 9 Novembre 2015, autour de 17h30.
Son corps sans vie fut dĂ©couvert plus tard sur la plage de la sabliĂšre ; les meurtriers ayant accompli au prĂ©alable leur forfait de prĂ©lĂšvement d’organes.
Un autre crime rituel venait d’ĂȘtre commis contre un innocent enfant.

L’enlĂšvement en plein jour de cet enfant a eu lieu Ă  moins de 500 mĂštres du siĂšge de l’église catholique au Gabon, une Ă©glise dont le leadership fait ouvertement cause avec ceux qui protĂšgent les commanditaires de ces crimes. Une Ă©glise qui n’hĂ©site pas Ă  se joindre aux commanditaires pour organiser des marches scandaleuses, prĂ©textant lutter contre ces crimes, pendant que les mĂȘmes commanditaires et complices de cette Ă©glise, font arrĂȘter les acteurs de la sociĂ©tĂ© civile voulant protester contre ces crimes de maniĂšre citoyenne et sincĂšre.

A ce jour, aucun commanditaire sĂ©rieux de ces crimes n’a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et traduit devant la justice ; et l’église catholique n’a jamais imposĂ© Ă  ses alliĂ©s au pouvoir de dĂ©montrer leur sĂ©rieux face Ă  ces crimes. Pire l’église catholique sert de couverture au pouvoir, en Ă©tant une caution pour des marches hypocrites.

Le jeune Ndang Mba Minko a Ă©tĂ© enlevĂ© en plein jour, ce qui prouve que les exĂ©cutants de ces basses besognes n’ont aucunement peur de se faire arrĂȘter, se sachant protĂ©gĂ©s par les plus hautes autoritĂ©s qui sont les consommateurs des organes prĂ©levĂ©s. Il y a des tĂ©moignages formels de personnes ayant Ă©chappĂ© de justesse Ă  ces monstres, qui auraient permis Ă  une police compĂ©tente de remonter la filiĂšre ; mais personne ne veut que ces rĂ©seaux soient dĂ©mantelĂ©s.

Vu l’impunitĂ© qui caractĂ©rise ces enlĂšvements, disparitions et assassinats avec objectif de prĂ©lĂšvement d’organes, les commanditaires ont forcĂ©ment des liens de protection avec le pouvoir. Certains parmi la classe dirigeante du Gabon seraient superstitieux au point de penser que certaines parties du corps des enfants auraient des pouvoirs supranaturels qui, entre les mains d’un sorcier, permettraient Ă  leurs dĂ©tenteurs de prendre un raccourci vers la rĂ©ussite matĂ©rielle.

Ce sont ces gens qui ont ouvert la chasse aux enfants Gabonais. Les gens qui promettent au peuple Gabonais la modernitĂ© et le progrĂšs, sont eux-mĂȘmes des tueurs qui font dĂ©membrer des enfants. Quel progrĂšs peuvent-ils engendrer au Gabon ? Ces gens sont responsables de la profondeur du mal qui englouti le Gabon. Ceux qui ont besoin de sang pour alimenter en Ă©nergie leurs rites occultes, ont encore frappĂ©s ; ils viennent d’arracher Ă  la vie le jeune Ndang Mba Minko, dont le seul tort fut de se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment. Cela aurait pu se produire pour n’importe quel enfant. Les commanditaires sont si dĂ©terminĂ©s Ă  se procurer ce sang et ces organes, qu’ils vont maintenant dans les maisons des gens Ă  la recherche de leur matiĂšre premiĂšre.

Que le rĂ©gime Ă©vite de venir nous parler de l’ouverture d’une autre enquĂȘte qui n’ira nulle part. D’une enquĂȘte oĂč les faits s'accumuleront mais oĂč aucune piste ne sera vraiment jamais dĂ©finie. D’une Ă©niĂšme enquĂȘte qui n’aboutira jamais.

Le jeune Ndang Mba Minko a droit Ă  la justice et non au simulacre et au mensonge. La chasse Ă  l’ĂȘtre humain en cours au Gabon nous retourne le cƓur et met nos Ă©motions Ă  rude Ă©preuve. Nous devons tout faire pour que ce gĂ©nocide se dĂ©roulant sous nos yeux s’arrĂȘte ! Nous devons nous nettoyer de ce Gabon totalement corrompu et viciĂ©.
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BERANGER OBAME NDOUTOUME’S MOTHER SPEAKS. LA MÈRE DE BERANGER OBAME NDOUTOUME S’EXPRIME

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THE JUDGEMENT OF NANTES. LE JUGEMENT DE NANTES

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FOR ALI BONGO THE PROBLEM OF HIS MULTIPLE BIRTH CERTIFICATES IS WORSE THAN SOLVING A RUBIK CUBE. POUR ALI BONGO, LA PROBLÉMATIQUE DE SES MULTIPLES ACTES DE NAISSANCE EST PIRE QUE SOLUTIONNER UN CUBE RUBIK

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 Ali Bongo (photo: AFP)





English version,

What birth certificate would come out of Nantes this time?

Following legal proceedings initiated by OnaĂŻda Bongo Ondimba, the French justice has decided to authorize the disclosure of the birth certificate of Ali Bongo, maintained in the colonial archives of the central civil status service (SCEC) belonging to the French Ministry of Foreign Affairs and located in the city of Nantes.

Dear readers, this time it is not about a simple receipt saying that such a document exists in the archives, it is about the publication of the only sample, the real, the authentic document, in its original form, such as established in 1959. But this will not be a simple exercise, because if Françafrique can gather its best counterfeiting craftsmen and ask them to produce a fake birth certificate that conforms to the format of the AEF in 1959, in choosing this path Nantes and Ali Bongo will have to explain the following facts:

1. Nantes archives are cataloged in an easily searchable electronic database by typing a few keys; yet in November 2014, SCEC in Nantes responded to an initial request by some Gabonese by saying categorically that Ali Bongo birth certificate was not included in its records. These Gabonese still have the mail that was sent to them for this purpose by the SCEC.

2. In 2015, bombshell, the SCEC issued to Gabonese activists of the diaspora, a receipt as confirmation of the existence of a birth certificate for Ali Bongo in their services. What happened between 2014 and 2015? In the opinion of this blog, Françafrique paid them a visit!

3. In 2009, Ali Bongo obtained a false birth certificate in a city hall of Libreville. If he had a legitimate one, why did he feel the need to have a false one established and to use it in his file for his bid for president? Until today, no one has sketched an answer to this puzzle!

4. When the matter of the birth certificate exploded, led by Luc Bengono Nsi and Pierre Pean’s book, Ali Bongo and his allies again fabricated another false document and presented it as coming from the archives of Brazzaville. Why go to all this trouble when it would have sufficed for them to simply go to Nantes to withdraw their authentic document? This gives headaches!

5. It appears that one of Ali Bongo’sisters officially of the same father, and more importantly of the same mother, has a birth certificate establishing her birth to have occurred only four months after that of supposedly Ali Bongo. The Bongos are reinventing the biology of reproduction, this is serious!

6. Why is Ali Bongo the only one of the 54 declared heirs of Omar Bongo, who had not provided his full birth certificate to the estate file?

7. Faced with this confusion of facts that clash and contradict each other, how does the Ali Bongo camp intend to convince the public that this whole story can stand?

8. Why someone with a real birth certificate located in the modern archives of a developed country like France has had to forge a document for his application in 2009?

Could Ali Bongo solve this Rubik's cube, even with the help of Françafrique?



Version française

Quel acte de naissance sortira de Nantes cette fois ?

Suite Ă  une procĂ©dure judiciaire initiĂ©e par OnaĂŻda Bongo Ondimba, la justice française vient de trancher en autorisant la divulgation de l'acte de naissance d'Ali Bongo, par les archives coloniales maintenues au service central de l'Etat civil (SCEC), appartenant au ministĂšre français des Affaires ÉtrangĂšres et localisĂ©es dans la ville de Nantes.

Chers lecteurs, cette fois il n’est plus question d’un simple rĂ©cĂ©pissĂ© disant qu’un tel document existerait dans ces archives, il s’agit de publier le seul, le vrai, l’authentique document, dans sa forme originelle tel qu’établi en 1959. Mais ce ne sera pas un exercice simple, car si la françafrique peut rĂ©unir ses meilleurs artisans de la contrefaçon et leur demander de produire un faux acte de naissance conforme au format de l’AEF en 1959, en choisissant cette voie, Nantes et Ali Bongo devront s’expliquer sur les faits suivants :

1. Les archives de Nantes sont cataloguĂ©es sur un fichier Ă©lectronique consultable facilement en tapant sur quelques touches; pourtant, en novembre 2014 le SCEC de Nantes avait rĂ©pondu Ă  une premiĂšre requĂȘte de Gabonais en affirmant de façon catĂ©gorique que l'acte de naissance d'Ali Bongo ne figurait pas dans ses registres. Ces Gabonais ont encore le courrier que leur avait adressĂ© Ă  cet effet, le SCEC.

2. En 2015, coup de théùtre, le SCEC dĂ©livre Ă  des activistes de la diaspora gabonaise, un rĂ©cĂ©pissĂ© tenant lieu de confirmation de l’existence d’un acte de naissance d’Ali Bongo dans leurs services. Que s’est-il passĂ© entre 2014 et 2015 ? De l’avis de ce blog, la françafrique est passĂ©e par lĂ  !

3. En 2009, Ali Bongo s’est fait Ă©tablir un faux acte de naissance dans une mairie de Libreville. S’il en possĂ©dait un vrai, pourquoi s’ĂȘtre fait Ă©tablir un faux, jusqu'Ă  l’utiliser dans son dossier de candidature Ă  la prĂ©sidentielle ? Jusqu’au jour d’aujourd’hui, personne n’a esquissĂ© une rĂ©ponse Ă  cette question casse-tĂȘte !

4. Quand l’affaire de l’acte de naissance explosa, sous la houlette de Luc Bengono Nsi et du livre de Pierre PĂ©an, Ali Bongo et ses alliĂ©s ont encore fabriquĂ© un autre faux document et l’on prĂ©sentĂ© comme Ă©manant des archives de Brazzaville. Pourquoi se donner tout ce mal quand il leur aurait suffi d’aller Ă  Nantes retirer tranquillement leur authentique document ? Ça donne des maux de tĂȘte !

5. Il s’avĂšre qu’une sƓur d’Ali Bongo, officiellement de mĂȘme pĂšre, mais surtout de mĂȘme mĂšre, a un acte de naissance Ă©tablissant sa venue au monde 4 mois seulement aprĂšs celle supposĂ©e d’Ali Bongo. Les Bongo rĂ©inventent la biologie de la procrĂ©ation, c’est grave !

6. Pourquoi Ali Bongo est-il le seul, parmi les 54 hĂ©ritiers dĂ©clarĂ©s d'Omar Bongo, qui n’avait pas fourni d’acte de naissance complet au dossier de succession?

7. Face à cet imbroglio de faits qui s’entrechoquent et se contredisent, comment le camp Ali Bongo compte-t-il convaincre l’opinion que toute cette histoire puisse tenir debout ?

8. Pourquoi quelqu’un ayant un vrai acte de naissance dans des archives modernes d’un grand pays comme la France a dĂ» se rĂ©soudre Ă  fabriquer un faux document pour son dossier de candidature en 2009 ?

Ali Bongo pourrait-il solutionner ce cube rubik, mĂȘme avec l’aide de la françafrique ?
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THE NEWSPAPER L’AUBE. LE JOURNAL L’AUBE

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THE TRUTH ABOUT THE ORIGINS OF ALI BONGO IS ALREADY IN THE INTERNATIONAL PRESS. LA VÉRITÉ SUR LES ORIGINES D’ALI BONGO EST DÉJÀ DANS LA PRESSE INTERNATIONALE

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BÉRENGER OBAME NDOUTOUME’S MOTHER DESCRIBES HIS LAST MOMENTS. LA MÈRE DE BÉRENGER OBAME NDOUTOUME DÉCRIT SES DERNIERS MOMENTS

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AT THE BEGINNING WAS THE FIRST ANSWER FROM NANTES: SO NO ONE WOULD FORGET! À L’ORIGINE FUT LA PREMIÈRE RÉPONSE DE NANTES : POUR QUE PERSONNE N’OUBLIE !

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TRANSLATION OF ARTICLES PUBLISHED IN THE PRESS ABOUT ALI BONGO’S ORIGINS (1). TRADUCTION D’ARTICLES PARUS DANS LA PRESSE À PROPOS DES ORIGINES D’ALI BONGO (1)

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Version française

RĂ©vĂ©lation choquante: Un Biafrais est un prĂ©sident d’un pays d'Afrique

Le prĂ©sident de l'un des pays d’Afrique est un NigĂ©rian issue de l’ethnie Igbo, recueilli par un ancien dirigeant de ce pays pendant la guerre du Biafra.

Avec les Ă©lections prĂ©sidentielles de l'annĂ©e prochaine Ă  venir, le dĂ©bat fait rage Ă  propos du lieu de naissance du prĂ©sident Ali Bongo Ondimba du Gabon, ses dĂ©tracteurs disant qu'il a fabriquĂ© son acte de naissance pour couvrir le fait qu'il a Ă©tĂ© adoptĂ© d’un autre pays.

Si ces soupçons sont prouvĂ©s, cela l’empĂȘcherait de se prĂ©senter pour un autre mandat et lui coĂ»terait sa fortune.

Cette rĂ©vĂ©lation choquante est sur le point d'ĂȘtre dĂ©voilĂ©e compte tenu qu’un tribunal europĂ©en, de France le jeudi 12 Novembre, a autorisĂ© un membre de la famille d'Ali Bongo Ondimba d’obtenir l’acte de naissance de ce leader aprĂšs accusation qu'il ait menti sur son lieu de naissance.

Le tribunal de Nantes a permis Ă  OnaĂŻda MaĂŻsha Bongo Ondimba, ĂągĂ© de 25 ans, une des filles de l'ex-prĂ©sident Omar Bongo, d’obtenir ce document dans son intĂ©gralitĂ©.

Son avocat Eric Moutet a saluĂ© la dĂ©cision comme Ă©tant «énorme», mĂȘme si «diplomatiquement complexe».

Ali Bongo est le seul des 54 héritiers reconnus de l'ancien président Omar Bongo à ne pas avoir produit de documents d'identification.

Il est devenu président aprÚs la mort en 2009 de son pÚre Omar Bongo, qui dirigeait ce pays d'Afrique de l'Ouest et ses richesses pétroliÚres et minérales depuis 1967.

Selon la constitution Gabonaise, il faut ĂȘtre nĂ© gabonaise pour devenir le chef d'Etat, mais le journaliste d'investigation français Pierre PĂ©an a dit dans un livre rĂ©cent que le prĂ©sident Ă©tait en fait nigĂ©rian et a Ă©tĂ© adoptĂ© au cours de la guerre du Biafra vers la fin des annĂ©es 60.

Bongo lui-mĂȘme affirme ĂȘtre nĂ© Ă  Brazzaville en 1959, ancienne capitale de l'Afrique Equatoriale Française.

La famille Bongo aurait engrangé 25% du produit intérieur brut de la riche nation pétroliÚre au fil des années, et Omar était considéré comme l'un des chefs d'Etat les plus riches du monde.

Le Service Central d'Etat Civil de Nantes est responsable de tous les actes de naissance des personnes nées en Afrique Equatoriale française jusqu'en 1960, lorsque les anciennes colonies de la région ont obtenu leur indépendance pour devenir le Gabon, le Congo, le Tchad et la République centrafricaine.

Ali Bongo a dĂ©clarĂ© Ă  la fin AoĂ»t qu'il donnerait "toute sa part de l'hĂ©ritage" de son pĂšre Ă  «la jeunesse gabonaise» lors d’un discours marquant le 55e anniversaire de l'indĂ©pendance.
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ECHOS DU NORD

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