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Channel: "LE GABON ENERVANT" OR "ANNOYING GABON"
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IN HONOR OF BÉRANGER OBAME NTOUTOUME: "BLACK PEOPLE" BY DAVID DIOP. EN HOMMAGE À BÉRANGER OBAME NDOUTOUME: « PEUPLE NOIR » DE DAVID DIOP

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Beranger Obame Ndoutoume


Peuple Noir de David Diop


Le peuple que l’on traîne 
Traîne et promène et déchaîne à travers les théâtres électoraux 
Le peuple que l’on jette en pâture 
Dans les champs avides de boucherie 
Le peuple qui se tait 
Quand il doit hurler 
Qui hurle quand il doit se taire 
Le peuple lourd de siècle de servitude 
Sur ses épaules de bon géant 
Le peuple que l’on caresse 
Comme le serpent caresse sa proie

Mais le peuple qui se soulève 
Se redresse 
Se cabre 
Le peuple qui saura se venger…

A SOUTH AFRICAN INVESTIGATION REVEALS THAT GABON AND THAT COUNTRY HAVE THE LEAST EFFECTIVE HEALTH CARE SYSTEM! UNE ENQUÊTE SUD-AFRICAINE REVÈLE QUE LE GABON ET CE PAYS ONT LES MOINS EFFICACES SYSTÈME DE SANTÉ

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Version française

L’étude en question a été réalisée à partir des données collectées par la publication The Economist, prenant en compte des facteurs tels que l’espérance de vie, la mortalité infantile, les revenues du pays, la population, etc., pour calculer classement des systèmes de santé de tous les pays du monde. Le principe de ce classement était simple; il mesurait les résultats des systèmes de santé, le nombre d’hôpitaux, l’accès aux soins et les autres facteurs déjà mentionnés, en fonction aux revenues de ces pays et à leurs dépenses déclarées pour la santé.

Les résultats de l’Afrique du Sud et du Gabon étaient les moins performants. Si on peut comprendre que le système de santé Sud-Africain soit déséquilibré à cause de l’expérience de l’apartheid qui avait laissé la majorité de la population, les noirs, hors du système de santé, qu’est ce qui explique les mauvais résultats du Gabon, avec sa faible population et ses énormes ressources pétrolières ?

ONE SIMPLE LITTLE QUESTION TO THE INTERIOR MINISTER. UNE SIMPLE PETITE QUESTION AU MINISTRE DE L’INTERIEUR

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Pacôme Moubelet-Boubeya at the center
Pacôme Moubelet-Boubeya au centre
Photo: Gabonreview




English version

In an interview on Radio Gabon, Ali Bongo’s Interior Minister, Pacôme Moubelet-Boubeya, said that the women traders and the late compatriot Bérenger Obame Ndoutoume, were illegally occupying public roads, which earned them trouble with the police. Well then! Let us assume that the Gabonese authorities are in a logic of the orthodox application of law and order, without deviating one iota from the rules. So we would like the minister to answer the following question:

If occupying a small portion of public road in Gabon, for the purpose of running a small business is liable to receive the wrath of law enforcement, parading traders naked and causing the death of a compatriot trader within the confines of their central police station, what punishment should be given in Gabon to an individual using fake documents to run in a presidential election?

We will wait for the answer!



Version française

Lors d’une interview diffusée sur Radio Gabon, le ministre de l’Intérieur d’Ali Bongo, Pacôme Moubelet-Boubeya, a dit que les femmes commerçantes Gabonaises et le regretté Bérenger Obame Ndoutoume, occupaient illégalement la voie publique, ce qui leur a valu les démêlées avec les forces de l’ordre. Très bien ! Admettons que les autorités gabonaises soient dans une logique de l’application orthodoxe de la loi et de l’ordre, sans déroger d’un iota aux règles. Alors, nous aimerions que ce ministre réponde à la question suivante :

Si occuper une petite portion de voie publique au Gabon pour faire un petit commerce est passible de recevoir les foudres des forces de l’ordre, paradant les commerçantes nues et causant la mort d’un compatriote commerçant dans l’enceinte de leur commissariat centrale, quel châtiment devrait-on réserver au Gabon à un individu utilisant des faux papiers pour se présenter à une élection présidentielle ?

Nous attendons la réponse !

ALI BONGO’S INTERIOR MINISTER TRIES TO JUSTIFY THE POLICE STATE. LE MINISTRE DE L’INTERIEUR D’ALI BONGO TENTE DE JUSTIFIER L’ÉTAT POLICIER

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Photo: Gabonreview




English version

While the Gabonese Police collects cases of abuse, while its agents are known for their pronounced taste for alcohol and asking for payment of bribes to peaceful traders, the interior minister in an interview on Radio Gabon, came to confirm that this police was only at the image of those who run Gabon.

The name of Beranger Ntoutoume Obame and the images of brutalized naked women traders, have become synonymous with the worst abuses of the Gabonese police. Since then, tongues have loosened, and many Gabonese are openly expressing their disgust with what the police subjects them to.

In his interview, Pacôme Moubelet-Boubeya talks about trivialities instead of what is essential. He said for example that corrupt police officers are only one small part of this police force. This statement is false because all Gabonese know that:

1. Appalling working conditions often dictate within the police force an unbridled corruption to make ends meet. The principle by which the Gabonese Police officers extort money from motorists at road side checks before letting them go, has become so common that it is now routine. It is a widespread practice, not the fact of a handful of agents.

2. Meager wages often force police officers to resort to bribes with the approval of their superiors with whom they share the spoils. Racketeering is not an isolated practice, but a business encouraged by the police hierarchy.

3. All announcements of investigations remain without follow-up, proving that these investigations are fictitious because no one is ever arrested (ritual crimes, economic crimes, etc.)

4. The arrests of innocent people like Annie Meye, while the real criminals are left free. The Gabonese police reassures no one because its attitude towards the citizen is more than worrisome.

Another lie by Pacôme Moubelet-Boubeya is his assertion that international standards require a rate of 1000 police officers per 100,000 people, which would give 18,000 policemen to the Gabonese population excessively valued at 1.8 million. In fact no country in the world reaches 1000 police officers per 100,000 inhabitants. The University of Sherbrooke in Canada published a study on the number of police officers per 100,000 inhabitants in all countries of the world. You can see the figures of this study by clicking here.

With supervision like this, it is not surprising that the Gabonese police are in a state of falling apart!



Version française

Alors que la police gabonaise accumule des bavures, alors que ses agents sont connus pour leur alcoolisme et gout prononcé pour exiger le paiement de pots de vin aux paisibles commerçants, le ministre de l’intérieur dans une interview sur Radio Gabon, est venu confirmer que cette police n’était qu’à l’image de ceux qui dirigent le Gabon.

Le nom de Beranger Obame Ndoutoume et les images des femmes commerçantes nues et brutalisées, sont devenus synonymes des pires abus de la police gabonaise. Depuis, les langues se délient et nombreux sont les Gabonais qui expriment ouvertement leur écœurement face à ce que la police leur fait subir.

Dans son interview, Pacôme Moubelet-Boubeya parle de futilités au lieu de l’essentiel. Il dit par exemple que les policiers véreux ne forment qu’une infime partie de cette police. Cette affirmation est fausse car tous les gabonais savent que :

1. Des conditions de travail épouvantables imposent souvent au sein des forces de police une corruption débridée pour arrondir les fins de mois. Le principe par lequel les agents de la police gabonaise extorquent de l’argent aux automobilistes lors des contrôles routiers, avant de les laisser repartir, est devenu tellement courant qu’il est désormais banal. C’est une pratique généralisée et non le fait d’une poignée d’agents.

2. Les maigres salaires obligent souvent les policiers à recourir aux pots-de-vin avec l’aval de leur hiérarchie avec laquelle ils partagent le butin. Le racket n’est pas une pratique isolée, mais un business encouragé par la hiérarchie policière.

3. Toutes les annonces d’ouverture d’enquêtes restent sans suite, prouvant que ces enquêtes sont fictives car jamais personne n’est interpellée (crimes rituels, crimes économiques etc.)

4. Les arrestations d’innocents comme Annie Meye, alors que les vrais criminels sont en libertés. La police Gabonaise ne rassure personne car son attitude envers le citoyen est plus qu’inquiétante.

Un autre mensonge de Pacôme Moubelet-Boubeya est son affirmation que les standards internationaux exigent un taux de 1000 policiers pour 100000 habitants, ce qui donnerait 18000 policiers pour la population Gabonaise exagérément évaluée à 1,8 million. En fait aucun pays au monde n’atteint 1000 policiers pour 100000 habitants. L’université de Sherbrooke au Canada a publié une étude du nombre de policiers pour 100000 habitants dans tous les pays du monde. Vous pouvez consulter les chiffres de cette étude en cliquant ici.

Avec une tutelle comme celle-ci, comment s’étonner que la police gabonaise soit dans un état de décrépitude !

ECHOS DU NORD

THE BBC SPEAKS ABOUT THE VIDEO OF WOMEN TRADERS ABUSED BY THE GABONESE POLICE. LA BBC PARLE DE LA VIDÉO DES FEMMES COMMERÇANTE MALTRAITÉES PAR LA POLICE GABONAISE

THE ALI BONGO’S REGIME IS SINKING MORE INTO DESPERATE SCRAMBLE AND DISHONESTY. LE RÉGIME ALI BONGO S’ENFONCE DE PLUS BELLE DANS LE CAFOUILLAGE ET LA MALHONNÊTETÉ

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Screenshot of the doctored video published by the regime
Capture d’écran du montage vidéo publié par le régime
(Image : Gabonreview)



English version

Under the pretext of responding to many questions being asked by Gabonese and observers about recent police misconduct that have seen these forces commit abuse against peaceful merchants, causing one death and the incredible arrest of women traders in the nude, the regime has published another video, which is obviously intended to discredit these women and strengthen the argument of the regime saying that "these women did strip naked by themselves." But if the regime thinks that by publishing this fantasy video, it will repair its image given the recent blunders by its police officers, they are mistaken!

This new video is only the expression of a vain attempt at disinformation made by the regime to once more disguise the truth. We had already seen, when the murder of Bruno Mboulou Beka occurred, a similar video, truncated and doctored to bring the viewer toward conclusions that went along with the regime’ story. The new video comes out of the same "studios". The only thing missing is the interview with the toothless "Bobo", claiming to have participated in the meetings of these women traders, who were plotting against the regime and the security of the Gabonese people, on the orders of a particular politician of the opposition...

This type of propaganda video, whose images and narrative are invariably gimmicky and simplistic, is so obviously dishonest that no one in possession of mental faculties can give it any credit! Instead of trying to find real solutions to the problem of extortion that plagues the police force, the regime produces shameful video editing with a partisan narrative, to try to justify these abuses. For example, the edited video presented by the regime, places children in same perimeter as the naked women; perimeter however, completely encircled by police trucks. The question that any reasonable person should ask is how children carrying umbrellas, found themselves at the center of this perimeter that was surrounded by police? These same children are absent from the first video, although filmed in the same place and around the same trucks. This stuff is so crude that we would laugh if the subject was not so serious! These children were placed there to simply say, "these women did strip naked in front of children!" The question that should be asked however is: “if the police was encircling the perimeter, how could these children break police barriers?

Fortunately, in the spaces of freedom that are primarily the Internet and some free newspapers, we can defeat these bungling attempts of the regime. Where the regime is spewing an obviously ridiculously propaganda, let us oppose the indomitable ferocity of facts, logic and truth! Often the truth is far from the tone and content of the official media.

While Gabonese people expect that the regime to stop the murderous impunity surrounding ritual crimes, the arbitrariness of law enforcement that ruins traders; the regime has chosen the play ostrich instead of responding responsibly to these emergencies. The Ali Bongo’s regime in an effort to extend its grip on the political sphere of the country, vainly seeks to impose its model of authoritarian governance by lies, manipulation and dishonesty.

Current events in Gabon are accelerating and demonstrate the awareness of an increasingly number of Gabonese on the need for the recovery of political power by a regime from the people. Faced with the Gabonese population, the Ali Bongo’s regime remains in a destructive logic, wanting any hint of resistance to be annihilated in the bud.

We must break this cycle and bring down this regime, by working together to fix this Gabon which has become a perforated jar, which loses its substance from all sides! The regime cannot continue to want to blame its own excesses and shortcomings to a population already sick and tired. This must stop!



Version française

Au prétexte de répondre aux nombreuses interrogations des Gabonais et des observateurs, face aux récentes bavures policières qui ont vu ces forces commettre des exactions contre de paisibles commerçants, au point d’entrainer une mort d’homme et l’arrestation rocambolesque de femmes commerçantes en tenue d’Ève, le régime vient publier une autre vidéo, dont le but est manifestement de discréditer ces femmes et de renforcer l’argument du régime selon lequel : « ces femmes se seraient déshabillées toutes seules ». Mais si le régime pense qu’en publiant cette vidéo fantaisiste, il réparera les récentes gaffes de ses policiers, il se trompe!

Cette nouvelle vidéo n’est que l’expression d’une vaine tentative de désinformation, faite par le régime pour travestir une fois de plus de vérité. Nous avions déjà vu lors de l’assassinat de Bruno Mboulou Beka, une vidéo semblable, tronquée et trafiquée, pour amener le spectateur vers des conclusions qui arrangeaient le régime. Cette nouvelle vidéo sort des mêmes « studios ». Il n’y manque que l’interview de « Bobo » l’édenté, affirmant avoir participé aux réunions de ces femmes commerçantes, qui complotaient contre le régime et la sécurité des Gabonais, sur les ordres de tel ou tel homme politique de l’opposition…

Ce type de vidéo propagandiste, dont les images et la narration sont invariablement racoleuses et simplistes, est si visiblement malhonnête que nul en possession de facultés mentales, ne saurait lui accorder tout crédit ! Au lieu de chercher à trouver des vraies solutions au problème du racket qui gangrène ses forces de police, le régime réalise de honteux montages vidéo avec une narration partisane, pour tenter de justifier ces bavures. Par exemple, le montage vidéo présenté par le régime place des enfants dans le périmètre de ces femmes dénudées ; périmètre complètement encerclé par les camions de la police. La question que toute personne raisonnable devrait poser est celle de savoir comment des enfants munis de parapluies, se sont retrouvés au centre de ce périmètre qui était encerclé par la police ? Ces mêmes enfants sont absents de la première vidéo, pourtant filmée au même endroit et autour des mêmes camions. C’est tellement grossier tout ça qu’on en rigolerait, si le sujet n’était pas si sérieux ! Ces enfants ont été placés là pour simplement dire : « ces femmes se sont déshabillées devant des enfants ! » Mais la question qu’on devrait poser demeure la suivante : « si la police encerclait le périmètre, comment des enfants ont pu briser les barrières policières ? »

Heureusement, dans les espaces de libertés que sont principalement internet et certains journaux libres, nous pouvons faire échec à ces tentatives de cafouillages du régime. Là où le régime présente une propagande ridiculement évidente, opposons-lui la férocité irréductible des faits, de la logique et de la vérité ! Une vérité souvent forte éloignée du ton et du contenu des médias officiels.

Alors que les populations Gabonaises attendent que le régime enraille l'impunité meurtrière qui entoure les crimes rituels, l'arbitraire des forces de l'ordre qui ruine des commerçants ; le régime choisi la fuite en avant au lieu de répondre de manière responsable à ces situations d'urgence. Le régime Ali Bongo dans un effort de prolongement de sa main mise sur la sphère politique du pays, cherche vainement à imposer son modèle de gouvernance autoritaire par le mensonge, la manipulation et la malhonnêteté.

Les événements en cours au Gabon, s’accélèrent et démontrent la prise de conscience d’un nombre de plus en plus important de Gabonais sur la nécessité de récupération du pouvoir politique par un régime issu du peuple. Face à la population Gabonaise, le régime Ali Bongo demeure dans une logique de finalité destructrice, voulant que toute velléité de résistance soit annihilée dans l’œuf.

Nous devons briser ce cycle et faire tomber ce régime, en travaillant ensemble pour réparer ce Gabon qui est devenu une jarre trouée, qui perd de sa substance de toute part! Le régime ne peut pas continuer de vouloir faire porter le chapeau de ses propres dérives et travers, à une population déjà suffisamment éprouvée. Cela doit cesser !

THE BONGOS EXTRAVAGANCE HIGHLIGHTED IN THE TRAVCON CASE. L’EXTRAVAGANCE DES BONGO EST MISE EN ÉVIDENCE DANS L’AFFAIRE TRAVCON

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English version

Travcon is a Swiss luxury private jet company, established in 2002 by Philipp Zürcher. It is a family owned operation that provides jets for the rich and famous around the world. The publication Africa Intelligence reports that Omar and Ali Bongo have been customers of Travcon since 2006. The Bongos still owe Travcon 11 million dollars in unpaid bill; money that company is suing to recover. The matter is being handled by the courts.

This November, the Swiss justice system has approved the Travcon lawsuit against the Bongos. Africa Intelligence says that Ali and Omar Bongo did spend a total of 125 million dollars with Travcon from 2006 to 2011. This included a 4.3 million dollars for a single trip to China. It is also mentioned that Omar Bongo was using a Travcon Boeing 777 VIP, almost every weekend to go visit his sick wife, at a cost of 2 million dollars per trip.

Africa Intelligence reveals that when Omar Bongo died, his son Ali Bongo continued the practice of hiring Travcon jets, but he was no longer paying the bills. The arears started to accumulate, totaling 11 million dollars. It is said that Travcon is determined to recover the unpaid amount and curiously, it is Serge Abessolo who is the intermediary between Gabon and Travcon.

Travcon has promised that when Ali Bongo will pay the full 11 million dollars, it will donate 1 million to charities such as UNICEF and Save the Children. This story is evolving and we will keep you posted. But it is sad to see that while the women traders are being harassed by the police, and those wanting to sell their good on the market, such as Beranger Obame Ndoutoume, have to lose their life for trying to make a living, the Bongos are wasting the Gabonese people’s money unnecessarily. This must stop!



Version française

Travcon est une société suisse de jets privés de luxe, créée en 2002 par Philipp Zürcher. C’est une opération familiale qui fournit des jets aux gens riches et célèbres du monde entier. La publication Africa Intelligence rapporte qu’Omar et Ali Bongo ont été clients de Travcon depuis 2006. Les Bongo devraient encore à Travcon 11 millions de dollars, en factures impayées; argent que cette entreprise essaie de récupérer. L'affaire est devant les tribunaux.

En ce mois de Novembre, le système judiciaire suisse a approuvé la poursuite de Travcon contre les Bongo. Africa Intelligence dit qu’Ali et Omar Bongo ont dépensé un total de 125 millions de dollars chez Travcon entre 2006 et 2011. Ces dépenses comprenaient 4,3 millions de dollars pour un seul voyage en Chine. Il est également mentionné qu’Omar Bongo utilisait un Boeing 777 VIP de Travcon, presque chaque week-end, pour aller rendre visite à sa femme malade; moyennant un coût de 2 millions de dollars par voyage.

Africa Intelligence révèle qu’à la mort d’Omar Bongo, son fils Ali Bongo a continué la pratique de location des jets de Travcon, mais il ne payait plus les factures. Les arriérés ont commencé à s'accumuler, totalisant 11 millions de dollars. Il est dit que Travcon est déterminé à recouvrer le montant impayé et curieusement, c’est Serge Abessolo qui est l'intermédiaire entre le Gabon et Travcon.

Travcon a promis que suite au paiement par Ali Bongo de la totalité des 11 millions de dollars, il ferait un don de 1 million à des organisations caritatives telles que l'UNICEF et Save the Children. Cette histoire est en cours et nous vous en tiendrons au courant. Mais il est triste de constater qu’alors que les femmes commerçantes sont harcelées par la police, et ceux qui veulent vendre leur marchandise sur la place du marché, comme Béranger Obame Ndoutoume, peuvent être tués en essayant de gagner leur vie, les Bongo eux gaspillent l'argent du peuple Gabonais inutilement. Cela doit cesser!

CONTESTATION ENTERS THE MASONIC RANKS! LA CONTESTATION GAGNE LE MILIEU MAÇONNIQUE !

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English version

La Lettre du Continent confirms the ubiquity of Freemasonry in the Gabonese political environment; be it on the side of the regime or the opposition. This publication tells us that some opposition circles to Ali Bongo have decided to create a rival lodges to the Grand Lodge of Gabon, they would call the Lodge of the "Friends of Mba Germain."

La Lettre du Continent says that similar to the current contestation within the PDG, several members of the Grand Lodge of Gabon have recently resigned from this obedience led by Ali Bongo and Maixent Accrombessi. These resignations are due to their refusal to continue to observe the duty of obedience and therefore blind submission to Ali Bongo. Those who have resigned are alleged to have joined the ranks of a new obedience ironically called lodge of the "friends of Germain Mba."

This new lodge named after the Gabonese diplomat assassinated in 1971, has been created by several dissident "brothers" among whom Paul Toungui and Eugene Boundono-Simangoye, and it has recently been legally registered in Paris. But, says La Lettre du Continent, its registration in Gabon is encountering the refusal of the authorities under the control of Ali Bongo. But La Lettre du Continent also says that members of the new lodges have already declared their support for Jean Ping for the presidency in 2016.

This information from La Lettre du Continent leads us to ask whether we should conclude that membership in a Masonic organization is absolutely necessary for directing or practicing politics in Françafrique, on the side of those in power or of the opposition? The strategy implemented since colonial times, which was to impose Freemasonry in Francophone Africa, therefore continues to perform very well. Freemasonry is used in francophone Africa to channel elites and make them subject to an established order, with a small payoff of a place in the sun. The Freemasons are both in power and in the opposition in Africa, a pervasiveness that allows them to block the momentum of freedom and true liberation of the people.

Freemasonry is therefore essentially in Africa, a regulatory instrument for maintaining a desired and established order. The main function of Freemasonry is to serve as a springboard for African elite patronage, allowing their cooptation and hence their control. This African Freemasonry is hierarchical in the image of the State; headed by the head of state and as lieutenants in the order of importance: ministers, senior executives, businessmen, academics and so on... The aim of this system is very simple: to establish an operating structure of the country which always favors the looting of its wealth, regardless of the person who would come to power.

Freemasonry in Africa is nothing more than an economic mafia; a looting a network. Nothing more, nothing less. Provided that the likes of Ali Bongo are devoid of any popular legitimacy, they rely on the Masonic tangle they control, to maintain themselves in power. It is toward the lodges that Ali Bongo turns when he is in trouble, both politically and legally or for business reasons. He offers to his northern masonic brothers, operating contracts of exploitation of Gabonese wealth that cement these ties. In return, these brothers help him with Holland, with the French judicial system etc.

But dear readers, remember one thing: there is no power, masonic or otherwise, that can intimidate and forever hold down a people who have decided to overcome and be free. We must make our choice now!


Version française

La Lettre du Continent confirme l’omniprésence de la franc-maçonnerie dans le milieu politique gabonais, qu’on parle du pouvoir ou de l’opposition. Cette publication nous apprend que certains milieux d’opposition à Ali Bongo auraient décidé de créer une loge rivale de la Grande Loge du Gabon, qu’ils appelleraient la loge « des amis de Germain Mba ».

La Lettre du Continent nous dit que similaire à la fronde en cours au PDG, plusieurs membres de la Grande Loge du Gabon auraient démissionné récemment de cette obédience dirigée par Ali Bongo et Maixent Accrombessi. Ces démissions seraient dues aux refus de ces derniers de continuer à observer le devoir d’obédience et donc d’obéissance aveugle à Ali Bongo. Les démissionnaires seraient allés joindre les rangs d’une nouvelle obédience appelée ironiquement loge « des amis de Germain Mba ».

Cette nouvelle loge portant le nom du diplomate Gabonais assassiné en 1971, aurait été créée par plusieurs « frères » dissidents dont Paul Toungui et Eugene Boundono-Simangoye, et elle vient d’être juridiquement enregistrée à Paris. Mais, nous dit La Lettre du Continent, son enregistrement au Gabon se heurte au refus des autorités sous la coupe d’Ali Bongo. Mais La Lettre du Continent nous dit aussi que les membres de cette nouvelle loge auraient déjà déclaré leur soutien à Jean Ping pour la présidentielle 2016.

Ces informations de La Lettre du Continent nous amènent à nous demander s’il faudrait conclure qu’il faille absolument être membre d’une obédience maçonnique pour diriger ou faire de la politique en françafrique, que l’on soit du pouvoir ou de l’opposition? La stratégie mise en place depuis la coloniale, qui a consisté à imposer la franc-maçonnerie en Afrique francophone, continue donc de fonctionner à merveille. La franc-maçonnerie est utilisée en Afrique francophone pour canaliser les élites et les rendre soumises à un ordre établi, moyennant en retour une petite place au soleil. Les francs-maçons sont donc aussi bien au pouvoir que dans les oppositions en Afrique, une omniprésence qui leur permet de bloquer l’élan de liberté et d’affranchissement véritable des peuples.

La franc-maçonnerie est donc principalement en Afrique, un instrument régulateur du maintien d’un ordre désiré et établi. La principale fonction de la franc-maçonnerie est de servir de tremplin clientéliste aux élites africaines, permettant ainsi leur cooptation et par là, leur contrôle. Cette franc-maçonnerie africaine est hiérarchisée à l’image de l’Etat ; avec à leur tête le chef d’Etat et comme lieutenants, dans l’ordre d’importance, les ministres, les hauts cadres, les hommes d’affaires, les universitaires et ainsi de suite… L’objectif de ce système est très simple : mettre en place une structure de fonctionnement du pays qui favorisera toujours le pillage de ses richesses, quelle que soit la personne qui arriverait au pouvoir.

La franc-maçonnerie en Afrique n’est rien d’autre qu’une mafia économique ; qu’un réseau de pillage. Rien de plus, rien de moins. Etant entendu que des gens comme Ali Bongo soient dépourvues de toute légitimité populaire, ils ne comptent que sur l’enchevêtrement maçonnique qu’ils contrôlent pour se maintenir au pouvoir. C’est vers les loges qu’Ali Bongo se tourne quand il est en difficulté, aussi bien politique que juridique ou d’affaires. Il offre à ses frères francs-maçons du nord, des contrats d’exploitation des richesses gabonaises qui cimentent ces liens. En retour, ces frères l’aident auprès de Hollande, auprès de la justice française etc.

Mais chers lecteurs, souvenez-vous d’une chose : aucun pouvoir fut-il maçonnique, ne peut intimider et contenir éternellement un peuple qui a décidé de s’affranchir. Nous devons faire notre choix dès maintenant !

TESTIMONY AGAINST THE RACKET SET UP BY HIGH RANKING LAW ENFORCEMENT AUTHORITIES. TÉMOIGNAGE CONTRE LE RACKET MIS EN PLACE PAR LES HAUTES AUTORITÉS POLICIÈRES

THE SUFFERING OF KIDS CONTINUES IN TOTAL IMPUNITY! LE SUPPLICE DES ENFANTS CONTINUE DANS L’IMPUNITÉ LA PLUS TOTALE!

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The late Ndong Mba Minko
Le regretté Ndong Mba Minko








English version,

His surname was Ndong Mba Minko
He was 14 years old
He was a student in Sony Labou Tansy high school in Libreville
He disappeared after his sports training on the playground located opposite the former site of Jeanne Ebori hospital on Monday, 9 November 2015, at around 5:30 pm.
His lifeless body was later found on the beach at the Sabliere area; the murderers having completed their prior removal of organs.
Another ritual crime had been committed against an innocent child.

The broad daylight abduction of the child took place within 500 meters from the headquarters of the Catholic Church in Gabon, a church whose leadership openly associates with those who protect the sponsors of these crimes. A church that does not hesitate to join the sponsors to organize scandalous marches pretending to fight these crimes, as the same sponsors and accomplices of this church arrest actors of the civil society wanting to protest against these crimes in a citizen and sincere way.

To date, no serious sponsor of these crimes has been arrested and brought to justice; and the Catholic Church has never imposed on its allies in power to demonstrate their seriousness at solving these crimes. Worse, the Catholic Church serves as a cover to those in power, being a shield for hypocrite marches.

The young Ndang Mba Minko was kidnapped in broad daylight, which proves that the executioners of such dirty work have no fear of being arrested, knowing that they are protected by the highest authorities who are the consumers of these taken organs. There are formal testimonies from people who narrowly escaped these monsters, that would allow a competent police to trace back these networks; but nobody wants these networks to be dismantled.

Given the impunity that characterizes these abductions, disappearances and murders with the objective of removing organs, the sponsors necessarily have protection ties with those in power. Some in the Gabonese ruling class are so superstitious as to think that some children body parts have supernatural powers that in the hands of a wizard, would enable their holders to take a shortcut to material success.

These are the people who have opened the hunt for Gabonese children. The people who are promising progress and modernity to the Gabonese people are themselves killers who dismember children. What progress can they engender in Gabon? These people are responsible for the depth of evil that engulfs Gabon. Those who need blood to power their occult rituals, have struck again; they have snatched the live of the young Ndang Mba Minko, whose only crime was to find himself in the wrong place at the wrong time. This could have happened to any child. The sponsors are so determined to obtain this blood and these organs that they are now going into people's homes in search of their raw material.

The regime should avoid coming to tell us of the opening of another investigation that will go nowhere. An investigation where facts will accumulate but where no lead would ever really be defined. Yet another investigation that will never succeed.

The young Ndang Mba Minko deserves to have justice and not a sham or a lie. The hunt for human beings in Gabon is heavy on our heart and puts our emotions to the test. We must do everything so that this genocide taking place before our eyes is stopped! We must cleanse ourselves of that Gabon totally corrupt and defective.


Version française

Son nom de famille était Ndang Mba Minko
Il était âgé de 14 ans
Il était élève en classe de 4ième au collège Sony Labou Tansy de Libreville
Il avait disparu après ses entrainements de sports sur le terrain de jeu situé face à l’ancien emplacement de l’hôpital Jeanne Ebori, le Lundi 9 Novembre 2015, autour de 17h30.
Son corps sans vie fut découvert plus tard sur la plage de la sablière ; les meurtriers ayant accompli au préalable leur forfait de prélèvement d’organes.
Un autre crime rituel venait d’être commis contre un innocent enfant.

L’enlèvement en plein jour de cet enfant a eu lieu à moins de 500 mètres du siège de l’église catholique au Gabon, une église dont le leadership fait ouvertement cause avec ceux qui protègent les commanditaires de ces crimes. Une église qui n’hésite pas à se joindre aux commanditaires pour organiser des marches scandaleuses, prétextant lutter contre ces crimes, pendant que les mêmes commanditaires et complices de cette église, font arrêter les acteurs de la société civile voulant protester contre ces crimes de manière citoyenne et sincère.

A ce jour, aucun commanditaire sérieux de ces crimes n’a été arrêté et traduit devant la justice ; et l’église catholique n’a jamais imposé à ses alliés au pouvoir de démontrer leur sérieux face à ces crimes. Pire l’église catholique sert de couverture au pouvoir, en étant une caution pour des marches hypocrites.

Le jeune Ndang Mba Minko a été enlevé en plein jour, ce qui prouve que les exécutants de ces basses besognes n’ont aucunement peur de se faire arrêter, se sachant protégés par les plus hautes autorités qui sont les consommateurs des organes prélevés. Il y a des témoignages formels de personnes ayant échappé de justesse à ces monstres, qui auraient permis à une police compétente de remonter la filière ; mais personne ne veut que ces réseaux soient démantelés.

Vu l’impunité qui caractérise ces enlèvements, disparitions et assassinats avec objectif de prélèvement d’organes, les commanditaires ont forcément des liens de protection avec le pouvoir. Certains parmi la classe dirigeante du Gabon seraient superstitieux au point de penser que certaines parties du corps des enfants auraient des pouvoirs supranaturels qui, entre les mains d’un sorcier, permettraient à leurs détenteurs de prendre un raccourci vers la réussite matérielle.

Ce sont ces gens qui ont ouvert la chasse aux enfants Gabonais. Les gens qui promettent au peuple Gabonais la modernité et le progrès, sont eux-mêmes des tueurs qui font démembrer des enfants. Quel progrès peuvent-ils engendrer au Gabon ? Ces gens sont responsables de la profondeur du mal qui englouti le Gabon. Ceux qui ont besoin de sang pour alimenter en énergie leurs rites occultes, ont encore frappés ; ils viennent d’arracher à la vie le jeune Ndang Mba Minko, dont le seul tort fut de se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment. Cela aurait pu se produire pour n’importe quel enfant. Les commanditaires sont si déterminés à se procurer ce sang et ces organes, qu’ils vont maintenant dans les maisons des gens à la recherche de leur matière première.

Que le régime évite de venir nous parler de l’ouverture d’une autre enquête qui n’ira nulle part. D’une enquête où les faits s'accumuleront mais où aucune piste ne sera vraiment jamais définie. D’une énième enquête qui n’aboutira jamais.

Le jeune Ndang Mba Minko a droit à la justice et non au simulacre et au mensonge. La chasse à l’être humain en cours au Gabon nous retourne le cœur et met nos émotions à rude épreuve. Nous devons tout faire pour que ce génocide se déroulant sous nos yeux s’arrête ! Nous devons nous nettoyer de ce Gabon totalement corrompu et vicié.

BERANGER OBAME NDOUTOUME’S MOTHER SPEAKS. LA MÈRE DE BERANGER OBAME NDOUTOUME S’EXPRIME

THE JUDGEMENT OF NANTES. LE JUGEMENT DE NANTES

FOR ALI BONGO THE PROBLEM OF HIS MULTIPLE BIRTH CERTIFICATES IS WORSE THAN SOLVING A RUBIK CUBE. POUR ALI BONGO, LA PROBLÉMATIQUE DE SES MULTIPLES ACTES DE NAISSANCE EST PIRE QUE SOLUTIONNER UN CUBE RUBIK

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 Ali Bongo (photo: AFP)





English version,

What birth certificate would come out of Nantes this time?

Following legal proceedings initiated by Onaïda Bongo Ondimba, the French justice has decided to authorize the disclosure of the birth certificate of Ali Bongo, maintained in the colonial archives of the central civil status service (SCEC) belonging to the French Ministry of Foreign Affairs and located in the city of Nantes.

Dear readers, this time it is not about a simple receipt saying that such a document exists in the archives, it is about the publication of the only sample, the real, the authentic document, in its original form, such as established in 1959. But this will not be a simple exercise, because if Françafrique can gather its best counterfeiting craftsmen and ask them to produce a fake birth certificate that conforms to the format of the AEF in 1959, in choosing this path Nantes and Ali Bongo will have to explain the following facts:

1. Nantes archives are cataloged in an easily searchable electronic database by typing a few keys; yet in November 2014, SCEC in Nantes responded to an initial request by some Gabonese by saying categorically that Ali Bongo birth certificate was not included in its records. These Gabonese still have the mail that was sent to them for this purpose by the SCEC.

2. In 2015, bombshell, the SCEC issued to Gabonese activists of the diaspora, a receipt as confirmation of the existence of a birth certificate for Ali Bongo in their services. What happened between 2014 and 2015? In the opinion of this blog, Françafrique paid them a visit!

3. In 2009, Ali Bongo obtained a false birth certificate in a city hall of Libreville. If he had a legitimate one, why did he feel the need to have a false one established and to use it in his file for his bid for president? Until today, no one has sketched an answer to this puzzle!

4. When the matter of the birth certificate exploded, led by Luc Bengono Nsi and Pierre Pean’s book, Ali Bongo and his allies again fabricated another false document and presented it as coming from the archives of Brazzaville. Why go to all this trouble when it would have sufficed for them to simply go to Nantes to withdraw their authentic document? This gives headaches!

5. It appears that one of Ali Bongo’sisters officially of the same father, and more importantly of the same mother, has a birth certificate establishing her birth to have occurred only four months after that of supposedly Ali Bongo. The Bongos are reinventing the biology of reproduction, this is serious!

6. Why is Ali Bongo the only one of the 54 declared heirs of Omar Bongo, who had not provided his full birth certificate to the estate file?

7. Faced with this confusion of facts that clash and contradict each other, how does the Ali Bongo camp intend to convince the public that this whole story can stand?

8. Why someone with a real birth certificate located in the modern archives of a developed country like France has had to forge a document for his application in 2009?

Could Ali Bongo solve this Rubik's cube, even with the help of Françafrique?



Version française

Quel acte de naissance sortira de Nantes cette fois ?

Suite à une procédure judiciaire initiée par Onaïda Bongo Ondimba, la justice française vient de trancher en autorisant la divulgation de l'acte de naissance d'Ali Bongo, par les archives coloniales maintenues au service central de l'Etat civil (SCEC), appartenant au ministère français des Affaires Étrangères et localisées dans la ville de Nantes.

Chers lecteurs, cette fois il n’est plus question d’un simple récépissé disant qu’un tel document existerait dans ces archives, il s’agit de publier le seul, le vrai, l’authentique document, dans sa forme originelle tel qu’établi en 1959. Mais ce ne sera pas un exercice simple, car si la françafrique peut réunir ses meilleurs artisans de la contrefaçon et leur demander de produire un faux acte de naissance conforme au format de l’AEF en 1959, en choisissant cette voie, Nantes et Ali Bongo devront s’expliquer sur les faits suivants :

1. Les archives de Nantes sont cataloguées sur un fichier électronique consultable facilement en tapant sur quelques touches; pourtant, en novembre 2014 le SCEC de Nantes avait répondu à une première requête de Gabonais en affirmant de façon catégorique que l'acte de naissance d'Ali Bongo ne figurait pas dans ses registres. Ces Gabonais ont encore le courrier que leur avait adressé à cet effet, le SCEC.

2. En 2015, coup de théâtre, le SCEC délivre à des activistes de la diaspora gabonaise, un récépissé tenant lieu de confirmation de l’existence d’un acte de naissance d’Ali Bongo dans leurs services. Que s’est-il passé entre 2014 et 2015 ? De l’avis de ce blog, la françafrique est passée par là !

3. En 2009, Ali Bongo s’est fait établir un faux acte de naissance dans une mairie de Libreville. S’il en possédait un vrai, pourquoi s’être fait établir un faux, jusqu'à l’utiliser dans son dossier de candidature à la présidentielle ? Jusqu’au jour d’aujourd’hui, personne n’a esquissé une réponse à cette question casse-tête !

4. Quand l’affaire de l’acte de naissance explosa, sous la houlette de Luc Bengono Nsi et du livre de Pierre Péan, Ali Bongo et ses alliés ont encore fabriqué un autre faux document et l’on présenté comme émanant des archives de Brazzaville. Pourquoi se donner tout ce mal quand il leur aurait suffi d’aller à Nantes retirer tranquillement leur authentique document ? Ça donne des maux de tête !

5. Il s’avère qu’une sœur d’Ali Bongo, officiellement de même père, mais surtout de même mère, a un acte de naissance établissant sa venue au monde 4 mois seulement après celle supposée d’Ali Bongo. Les Bongo réinventent la biologie de la procréation, c’est grave !

6. Pourquoi Ali Bongo est-il le seul, parmi les 54 héritiers déclarés d'Omar Bongo, qui n’avait pas fourni d’acte de naissance complet au dossier de succession?

7. Face à cet imbroglio de faits qui s’entrechoquent et se contredisent, comment le camp Ali Bongo compte-t-il convaincre l’opinion que toute cette histoire puisse tenir debout ?

8. Pourquoi quelqu’un ayant un vrai acte de naissance dans des archives modernes d’un grand pays comme la France a dû se résoudre à fabriquer un faux document pour son dossier de candidature en 2009 ?

Ali Bongo pourrait-il solutionner ce cube rubik, même avec l’aide de la françafrique ?

THE NEWSPAPER L’AUBE. LE JOURNAL L’AUBE


THE TRUTH ABOUT THE ORIGINS OF ALI BONGO IS ALREADY IN THE INTERNATIONAL PRESS. LA VÉRITÉ SUR LES ORIGINES D’ALI BONGO EST DÉJÀ DANS LA PRESSE INTERNATIONALE

BÉRENGER OBAME NDOUTOUME’S MOTHER DESCRIBES HIS LAST MOMENTS. LA MÈRE DE BÉRENGER OBAME NDOUTOUME DÉCRIT SES DERNIERS MOMENTS

AT THE BEGINNING WAS THE FIRST ANSWER FROM NANTES: SO NO ONE WOULD FORGET! À L’ORIGINE FUT LA PREMIÈRE RÉPONSE DE NANTES : POUR QUE PERSONNE N’OUBLIE !

TRANSLATION OF ARTICLES PUBLISHED IN THE PRESS ABOUT ALI BONGO’S ORIGINS (1). TRADUCTION D’ARTICLES PARUS DANS LA PRESSE À PROPOS DES ORIGINES D’ALI BONGO (1)

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Version française

Révélation choquante: Un Biafrais est un président d’un pays d'Afrique

Le président de l'un des pays d’Afrique est un Nigérian issue de l’ethnie Igbo, recueilli par un ancien dirigeant de ce pays pendant la guerre du Biafra.

Avec les élections présidentielles de l'année prochaine à venir, le débat fait rage à propos du lieu de naissance du président Ali Bongo Ondimba du Gabon, ses détracteurs disant qu'il a fabriqué son acte de naissance pour couvrir le fait qu'il a été adopté d’un autre pays.

Si ces soupçons sont prouvés, cela l’empêcherait de se présenter pour un autre mandat et lui coûterait sa fortune.

Cette révélation choquante est sur le point d'être dévoilée compte tenu qu’un tribunal européen, de France le jeudi 12 Novembre, a autorisé un membre de la famille d'Ali Bongo Ondimba d’obtenir l’acte de naissance de ce leader après accusation qu'il ait menti sur son lieu de naissance.

Le tribunal de Nantes a permis à Onaïda Maïsha Bongo Ondimba, âgé de 25 ans, une des filles de l'ex-président Omar Bongo, d’obtenir ce document dans son intégralité.

Son avocat Eric Moutet a salué la décision comme étant «énorme», même si «diplomatiquement complexe».

Ali Bongo est le seul des 54 héritiers reconnus de l'ancien président Omar Bongo à ne pas avoir produit de documents d'identification.

Il est devenu président après la mort en 2009 de son père Omar Bongo, qui dirigeait ce pays d'Afrique de l'Ouest et ses richesses pétrolières et minérales depuis 1967.

Selon la constitution Gabonaise, il faut être né gabonaise pour devenir le chef d'Etat, mais le journaliste d'investigation français Pierre Péan a dit dans un livre récent que le président était en fait nigérian et a été adopté au cours de la guerre du Biafra vers la fin des années 60.

Bongo lui-même affirme être né à Brazzaville en 1959, ancienne capitale de l'Afrique Equatoriale Française.

La famille Bongo aurait engrangé 25% du produit intérieur brut de la riche nation pétrolière au fil des années, et Omar était considéré comme l'un des chefs d'Etat les plus riches du monde.

Le Service Central d'Etat Civil de Nantes est responsable de tous les actes de naissance des personnes nées en Afrique Equatoriale française jusqu'en 1960, lorsque les anciennes colonies de la région ont obtenu leur indépendance pour devenir le Gabon, le Congo, le Tchad et la République centrafricaine.

Ali Bongo a déclaré à la fin Août qu'il donnerait "toute sa part de l'héritage" de son père à «la jeunesse gabonaise» lors d’un discours marquant le 55e anniversaire de l'indépendance.

ECHOS DU NORD

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