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Channel: "LE GABON ENERVANT" OR "ANNOYING GABON"
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LIBERATION’S EMPLOYEES ARE MAD; BUT WHERE IS THE OUTRAGE OF THE GABONESE TAXPAYERS? LES EMPLOYÉS DE LIBÉRATION SONT EN COLÈRE ; MAIS OÙ EST LA COLÈRE DU CONTRIBUABLE GABONAIS ?


THE ACCROMBESSIS ARE IN ALL THE DIRTY THINGS ! LES ACCROMBESSI SONT DANS TOUS LES SALES COUPS !

THE GABONESE RESISTANCE IN FRONT OF THE FRENCH SENATE. LA RESISTANCE GABONAISE DEVANT LE SENAT FRANÇAIS

PRESS RELEASE BY THE COALITION FOR THE NEW REPUBLIC. COMMUNIQUE DE LA COALITION POUR LA NOUVELLE REPUBLIQUE

THE RESISTANCE STILL DOES NOT GIVE UP. LA RESISTANCE NE LACHE TOUJOURS RIEN

WELL SAID! BIEN DIT !

FABIEN MERE IN FRONT OF THE FRENCH SENATE. FABIEN MERE DEVANT LE SENAT FRANCAIS

MICHEL ONGOUNDOU LOUNDA IN FRONT OF THE FRENCH SENATE. MICHEL ONGOUNDOU LOUNDA DEVANT LE SENAT FRANÇAIS


LA LETTRE DU CONTINENT TELLS US ABOUT ACCROMBESSI’S FIRING. LA LETTRE DU CONTINENT NOUS PARLE DU LIMOGEAGE D’ACCROMBESSI

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English version


Apparently, according to La Lettre du Continent, it is following the investigation by the French National Financial Office of the forum organized by the newspaper Libération in Libreville in 2015, that the Ali Bongo’s regime would have decided to get rid of Maixent Accrombessi who had become too embarrassing.


Given that in France, this scandal had already led to the resignation of the organizer of this forum, Pierre Fraidenraich, a former operational director of Libération who meanwhile became managing director of the BFM Business channel; this resignation was very disconcerting for the Ali Bongo’s regime, because Pierre Fraidenraich is a close friend of Maixent Accrombessi.


The same Pierre Fraidenraich holds shares in Edan, the television channel of Accrombessi's wife, Evelyne Diatta.


La Lettre du Continent tells us that Pierre Fraidenraich and Maixent Accrombessi had been working on the organization of this forum, which was financed by the Gabonese State, via a structure called the Coordinating Office of the Strategic Plan Gabon Emergent (BCPSGE), which was directly under Maixent Accrombessi at the Gabonese presidency.


This is why Ali Bongo's regime had to try to save face before this scandal.


Accrombessi meanwhile, has quietly returned home to Benin, with all the money looted in Gabon.


So goes the Ali Bongo’s regime








Version française


Apparemment, d’après La Lettre du Continent, c’est suite à l'enquête du Parquet national financier français sur le forum organisé par le quotidien Libération à Libreville en 2015, que le régime Ali Bongo aurait décidé de se debarasser de Maixent Accrombessi devenu trop gênant.


Vu qu’en France, ce scandale avait déjà entraîné la démission de l'organisateur de ce forum, Pierre Fraidenraich, ancien directeur opérationnel de Libération entre temps devenu directeur général de la chaîne BFM Business ; cette démission était très embarrassante pour le régime Ali Bongo, car Pierre Fraidenraich est un intime de Maixent Accrombessi.


Le même Pierre Fraidenraich détient des parts dans Edan, la chaîne de télévision de l’épouse d'Accrombessi, Evelyne Diatta.


La Lettre du Continent nous apprend que Pierre Fraidenraich et Maixent Accrombessi ont travaillé en tendem sur l'organisation de ce forum qui fut financé par l’Etat Gabonais, via une structure appelee le Bureau de coordination du plan stratégique Gabon émergent (BCPSGE), qui dépendait directement de Maixent Accrombessi à la présidence gabonaise.


Voici pourquoi il fallait que régime Ali Bongo essaie de sauver la face devant ce scandale.


Accrombessi quant à lui, est tranquillement retourné chez lui au Benin, avec tout l’argent pillé au Gabon.


Ainsi va le régime Ali Bongo

JEAN PING’ SPEECH. LE DISCOURS DE JEAN PING

“APPEL A AGIR” MAKES THE PROMESS TO CONTINUE THE FIGHT. “APPEL A AGIR” PROMET DE CONTINUER LE COMBAT !

A GOOD ARTICLE ABOUT WHAT IS GOING ON IN GABON. UN BON ARTICLE SUR CE QUI SE PASSE AU GABON

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Traduction française


Alors que sa dynastie dirigeante fane, le Gabon, un allié des États-Unis et gardien de l'influence française en Afrique, s'interroge sur son avenir

La fragilité de l’une des dynasties politiques les plus anciennes au monde a été mise en lumière lorsque l’armée a tenté un coup d’Etat au Gabon en janvier.

Le coup d'Etat, orchestré par de jeunes membres de l'armée gabonaise, n'a pas permis de renverser Ali Bongo Ondimba, dont la famille dirige ce pays d'Afrique centrale depuis la fin des années 1960. Et la prochaine élection présidentielle au Gabon ne se tiendra pas avant l’été 2023.

Le mandat de Bongo pourrait s’épuiser plus tôt.

L’homme fort âgé de 60 ans est effectivement incapable de gouverner depuis son apparent accident vasculaire cérébral en octobre 2018, en Arabie Saoudite ou il prenait part à l’Initiative pour les investissements futurs, souvent appelée « Davos du désert ».

Sa fragilité apparente lors de ses récentes apparitions à la télévision, associée à un coup d'Etat manqué et à l'absence d'un héritier évident, a créé un fort sentiment national que la dynastie Bongo des cinq dernières décennies du Gabon vit ses derniers jours.


L’un des derniers avant-postes néo-coloniaux français en Afrique

Les troubles politiques sont rares au Gabon, un petit pays d'Afrique centrale grand comme l'État du Colorado, avec une population de 2 millions d'habitants et une lucrative industrie pétrolière.

À l'exception d'un coup d'État militaire de courte durée en 1964, le Gabon a été considéré comme un bastion de stabilité en Afrique centrale, où se concentrent mes recherches. La richesse pétrolière et le soutien français de la dynastie Bongo ont contribué à la sécurité du Gabon et ces dernières années, Bongo a utilisé cette stabilité pour faire du Gabon un allié clé des États-Unis dans la région.

Mais la stabilité n'est pas la même chose que la démocratie.

Depuis son indépendance de la France en 1960, le Gabon n’a eu que trois présidents. Le premier était Léon M’ba, qui a gouverné de l’indépendance jusqu’en 1967. Le père du président actuel, Omar Bongo Ondimba, a pris le pouvoir après la mort de Mba.

Omar Bongo a ensuite dirigé le Gabon d'une main de fer pendant 42 ans. Pour rester au pouvoir, il a orchestré des ajustements garantissant que le système électoral naissant du pays ne devienne jamais indépendant, libre ou équitable.

Pendant son règne, Bongo père a contribué à maintenir l’influence politique et la puissance militaire françaises en Afrique en signant plusieurs traités de défense avec la France. Sa politique a bénéficié à la «Françafrique» - un terme désormais décrié décrivant la relation «spéciale» de la France avec ses anciennes colonies sur le continent, qui comprend le soutien de dictateurs qui en retour protègent ses intérêts économiques.

Omar Bongo veilla à ce que le Gabon reste une «enclave néocoloniale», comme l'a écrit l'anthropologue Michael Reed en 1987 dans le Journal of Modern African Studies.

"L’identité même du Gabon est indissociable de la France", a déclaré Reed, "et l’insistance persistante de celle-ci au statut de" puissance majeure ", dans laquelle l’Afrique est cruciale, nécessite l’assistance du Gabon."

Le président Ali Bongo Ondimba, qui a pris le pouvoir suite du décès de son père en 2009, grâce à une nouvelle élection marquée par des irrégularités ; a hérité de la fidélité de son père envers la France.

Le Gabon s’aligne toujours régulièrement sur les intérêts français en Afrique. Lors du bouleversement politique survenu en Libye en 2011, par exemple, Ali Bongo a rompu avec l’Union Africaine et a appelé à la destitution du président Muammar Kadhafi. La France et d'autres puissances occidentales cherchaient à déposer l'autoritaire Kadhafi, tandis que les nations africaines soutenaient Kadhafi dans le cadre de la promotion de la doctrine : « solutions africaines aux problèmes africains ».


Une non-démocratie stable

La montée en puissance d’Ali Bongo - qui était ministre de la Défense pendant la dernière partie du règne de son père – fut controversée même au sein de son propre parti, le Parti Démocratique Gabonais.

Bongo a subi un intense challenge de la part d’un ancien membre du PDG, lors de l'élection présidentielle de 2016, Jean Ping. Fort de l’échec du programme de réformes de Bongo pour transformer le Gabon en une économie émergente, Ping a presque convaincu le peuple Gabonais que la dynastie des Bongo devait s’en aller.

En définitive, Bongo a battu Ping, l’ancien Président de la Commission de l'Union Africaine, par moins de 6000 voix, avec 50,66% des suffrages. Ping, ainsi que de nombreux observateurs locaux et étrangers, considèrent les résultats de cette élection comme étant frauduleux.

L'élection présidentielle de 2016 a été dommageable pour la dynastie Bongo. C'était la première fois que l'opposition à la famille Bongo s'unissait autour d'une candidature unique et crédible.

Depuis lors, le Gabon, autrefois pacifique, a connu des crises politiques. La coalition de partis associés à Ping a boycotté les élections municipales de l’année dernière et sa moitié de l’électorat considère Bongo comme étant un président illégitime.


Riche et pauvre

Le Gabon est également en crise économique et fiscale depuis 2014.

Entre 2014 et 2016, les revenus du gouvernement ont considérablement diminué en raison de la chute des prix mondiaux du pétrole. L’année dernière, le Fonds monétaire international a accepté de renflouer le gouvernement gabonais en échange de réformes structurelles, notamment d’un gel de l’embauche pour trois ans dans le secteur public.

L'inégalité sociale est également très élevée au Gabon. Historiquement, sa richesse pétrolière n’a pas profité financièrement à la plupart de ses habitants, qui restent assez pauvres.

Le Gabon se place au 110 rang sur 189 pays, sur l'indice de développement humain des Nations Unies, qui évalue l’espérance de vie, les niveaux d'éducation, la pauvreté, l'égalité sociale, la mortalité maternelle et d'autres mesures de bien-être. C'est plus élevé que les voisins immédiats comme le Cameroun, le Congo et la Guinée équatoriale, mais bon du tout pour un pays à revenu intermédiaire dont le gouvernement fonctionne avec de l'argent du pétrole.

L’île africaine de Maurice, par exemple, dont le produit intérieur brut est similaire à celui du Gabon - qui était de 15 milliards de dollars américains en 2017 - se porte beaucoup mieux. Elle se classe au 65ème rang mondial de l’indice de développement humain des Nations Unies.


Un avenir qui reste à écrire

Les enquêtes démontrent que 87% de Gabonais estiment que le pays va dans la mauvaise direction. Ils en accusent Ali Bongo, bien que 71% d'entre eux rejettent toute tentative d'instaurer une dictature militaire.

Malgré les tentatives du Parti Démocratique Gabonais pour rassurer le public de l’amélioration de la santé de Bongo, il n’est pas certain qu’il récupère suffisamment pour pouvoir à nouveau diriger le Gabon.

Pour l’instant, un amendement de la constitution adopté par la Cour Constitutionnelle du Gabon en novembre 2018, a permis au président - au moins nominalement – de conserver les commandes de l’Etat tout en récupérant de son AVC.

Lorsque Bongo mourra ou deviendrait invalide - un scénario qui, à mon avis, est déjà bien engagé - la dynastie des Bongo prendra fin.



Gyldas A. Ofoulhast-Othamot
Professeur auxiliaire en sciences politiques et en études internationales à l'Université de Tampa

THE ALI BONGO’S REGIME WANTS TO INSTUTUTES A SYSTEM OF STUDENTS LOANS SIMILAR TO WHAT HAPPENS IN THE AMERICAS, THIS REGIME IS CRAZY! LE REGIME ALI BONGO VEUT IMPOSER UN SYSTEME DE PRETS ETUDIANTS EQUIVALENT A CE QUI SE FAIT DANS LES AMERIQUES. CE REGIME EST FOU !

GOOD QUESTION! BONNE QUESTION !

AGAIN A GOOD QUESTION ! ENCORE UNE BONNE QUESTION !


LEVEL SECOND GRADE ! NIVEAU CP2 !

THE ABDICATION OF THE GABONESE STATE! LA DEMISSION DE L’ETAT GABONAIS

MEDIAPART WRITES ABOUT THE “COLLOQUE GABON” THAT TOOK PLACE IN PARIS. MEDIAPART A PROPOS DU “COLLOQUE GABON » TENUE A PARIS

IN GABON NO ONE KNOWS WHAT HAS HAPPENED TO THE GABON OIL COMPANY. MEANWHILE IN SAUDI ARABIA, THE NATIONAL OIL COMPANY HAS BECOME THE MOST PROFITABLE COMPANY IN THE WORLD. WHAT’S WRONG! AU GABON ON NE SAIT PAS OÙ EST PASSÉ LA GABON OIL COMPANY. PENDANT CE TEMPS EN ARABIE SAOUDITE, LA SOCIÉTÉ NATIONALE DE PÉTROLE EST DEVENUE L’ENTREPRISE FAISANT LE PLUS DE BÉNÉFICES DANS LE MONDE. TROUVEZ L’ERREUR !

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Traduction française


L’entreprise la plus rentable au monde n’est pas Apple, c’est la Saudienne Aramco

Le géant pétrolier saoudien a réalisé un bénéfice de 224 milliards de dollars en 2018 ; Apple a en eu pour 81,8 milliards de dollars.



Le groupe Saoudien Aramco, le premier producteur mondial de pétrole, a réalisé un bénéfice de 224 milliards de dollars l’année dernière, soit presque trois fois plus que Apple, ont annoncé lundi les chiffres de cette société publique, en prévision de sa première émission obligataire internationale.

Auparavant réticente à divulguer ses données financières, Aramco a dû les révéler afin d'obtenir une notation publique et de commencer à émettre des obligations internationales publiques.

Malgré les énormes profits réalisés, le géant pétrolier national a été évalué par les agences de crédit au même niveau que l’Arabie saoudite elle-même, ce qui signifie que l’économie morose du royaume pèsera sur le coût d’emprunt d’Aramco lorsqu’elle fera ses débuts sur le marché obligataire.

Le ministre saoudien de l’énergie, Khalid al-Falih, a déclaré plus tôt cette année que la vente envisagée d’obligations générerait environ 10 milliards de dollars, mais des sources bancaires ont déclaré que la transaction pourrait être plus importante.

Les agences de notation Fitch et Moody's ont évalué respectivement Aramco à A + et A1, mais elles ont toutes deux déclaré que, sans contraintes de notation souveraines, Aramco serait dans la même catégorie que les sociétés pétrolières internationales mieux notées comme Exxon Mobil, Chevron et Shell.

L'accord obligataire prévu est la transaction inaugurale d'Aramco sur les marchés internationaux. Elle prévoit toujours de lancer une première offre publique d'actions ou d'introduction en bourse en 2021, qui devrait générer 100 milliards de dollars, après avoir différé son introduction en bourse initialement prévue en 2018.

Aramco rencontrera cette semaine les investisseurs internationaux en obligations dans le cadre de la transaction très attendue, qui devrait attirer une demande considérable des investisseurs mondiaux.

La vente prévue d'obligations fait suite à l'acquisition annoncée d'une participation de 70% dans Saudi Basic Industries Corp, le quatrième fabricant mondial de produits pétrochimiques ; acquis auprès du fonds d'investissement public saoudien pour 69,1 milliards de dollars.

Les bénéfices avant intérêts, impôts et amortissements d'Aramco s'élevaient à 224 milliards de dollars en 2018. En revanche, Apple, qui selon Forbes était la première société mondiale en termes de bénéfices l'année précédente, a réalisé un bénéfice de 81,8 milliards de dollars.

"Saudi Aramco dispose d'une position de liquidité extrêmement solide", a déclaré Moody's, car disposant de 48,8 milliards de dollars de liquidités contre 27 milliards de dollars de dette.

"La balance de paiement de la société a été géré de manière prudente", a déclaré l'agence, ajoutant qu'elle disposait de facilités bancaires de 46,8 milliards de dollars, dont environ 25,5 milliards étaient encore disponibles.

Les représentants d’Aramco rencontreront des investisseurs en Asie, en Europe et aux États-Unis jusqu’au vendredi 5 avril, selon un document publié par l’une des banques menant la transaction.

Le roadshow ne prévoit aucun arrêt au Moyen-Orient, ce qui montre que la transaction vise principalement les acheteurs internationaux.

"La société de premier plan est extrêmement rentable, dispose d'un cash-flow libre positif, d'un faible endettement et de solides réserves pour l'avenir, ce qui en fait un argument d'investissement convaincant pour les investisseurs mondiaux", a déclaré Parth Kikani, directeur des titres à revenu fixe chez Emirates NBD Asset Management.

Aramco se présente aux investisseurs mondiaux comme un "point d'ancrage de l'énergie mondiale" et un fournisseur d'énergie mondial d'importance systémique, produisant un sur huit barils de pétrole dans le monde, selon la présentation des investisseurs.

Son flux de trésorerie disponible était de 86 milliards de dollars à la fin de 2018.

L’acquisition de SABIC, qui est au cœur de la stratégie de développement d’Aramco dans le secteur en aval, n’a aucune incidence sur la note d’Aramco, a déclaré la société dans sa présentation.

Aramco a engagé la Banque Lazard comme conseiller financier pour l’accord d’obligation projeté, ainsi que JP Morgan et Morgan Stanley comme coordinateurs mondiaux. Ils sont rejoints par Citigroup, Goldman Sachs, HSBC et NCB Capital en qualité de responsables de la tenue des livres comptables.

THE JOURNALISTS FROM LIBERATION ARE EXPRESSING THEMSELVES REGARDING THE SCANDAL OF THE FORUM ORGANIZED IN GABON. LES JOURNALISTES DE LIBÉRATION S’EXPRIMENT AU SUJET DU SCANDALE DU FORUM ORGANISÉ AU GABON

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