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Channel: "LE GABON ENERVANT" OR "ANNOYING GABON"
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JEAN PING COMES BACK TO HIS HQ OF LIBREVILLE. RETOUR DE JEAN PING À SON QG DE LIBREVILLE


THE ADDRESS OF LAWYER FABIEN MERÉ AT JEAN PING’S HQ THIS SATURDAY. L’ALLOCUTION DE L’AVOCAT FABIEN MÉRÉ AU QG DE JEAN PING CE SAMEDI

TV+ NEWSCASTS. LES JOURNAUX DE TV+

GEORGES MPAGA IN PARIS. GEORGES MPAGA À PARIS

JEAN GASPARD NTOUTOUME AYI ON RFI, ABOUT THE MBORANTSUO CASE. JEAN GASPARD NTOUTOUME AYI SUR RFI, À PROPOS DE L’AFFAIRE MBORANTSUO

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Marie Madeleine Mborantsuo (photo AFP)





English version

"As far as I know the wages of a president of the Constitutional Court for thirty years cannot justify the accumulation of such wealth. It actually confirms what we have always said, that we have a regime or a government of predation of public resources.

And when we look at the amounts that are mentioned, we realize that this predation concerns those who are at the head of the institutions and we understand better why these institutions often take one-sided decisions.

The Constitutional Court did not make its decisions based on the law, it pronounced them based on opportunism and in defense of its interests! There is nothing to be expected from this Constitutional Court or from the person who directs it. So we will not even waste our time asking for her resignation. It is dignified people who resign! "




Version française

« A ce que je sache les salaires d’un président de la Cour constitutionnelle pendant trente ans ne peuvent pas justifier l’accumulation d’un tel patrimoine. Ça vient confirmer en fait ce qu’on a toujours dit, c’est-à-dire qu’on avait un régime ou un pouvoir de prédation des ressources publiques.

Et quand on voit les montants qui sont évoqués, on se rend bien compte que cette prédation concerne ceux qui sont à la tête des institutions et on comprend mieux pourquoi ces institutions prennent souvent les décisions iniques.

La Cour constitutionnelle ne prononçait pas ses décisions en droit, elle les prononçait en opportunité et en défense de ses intérêts ! On ne peut rien attendre de cette Cour constitutionnelle, ni de la personne qui la dirige. Donc on ne va même pas perdre notre temps à demander sa démission. Ce sont les gens dignes qui démissionnent ! »

WHEN THE PARTISANS OF THE SINGLE WAY OF THOUGHT ARE MISSING THE GOOD OLD TIMES. QUAND LES PARTISANS DE LA PENSÉE UNIQUE REGRETTENT LE BON VIEUX TEMPS

COMPROMISSION; AND THEN WHAT? COMPROMISSION; ET ENSUITE QUOI?

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English version

In an interview published by Gabonreview, Jonathan Ntoutoume-Ngome, of Démocratie Nouvelle, seems to argue that the resistance observed for some time by many Gabonese against the Ali Bongo regime, which he has joined, is a dead end. To what this blog replies to him that it is the sycophancy and compromise in which he finds himself stuck, which are paths without a future. We explain.

For this blog, Mr. Jonathan Ntoutoume-Ngome’s argument is not only incoherent, but mainly shows confusion. In his view, it seems that one can only take a position in the political debate in Gabon if one draws something immediately from it. No he is mistaken. The motivations of the Gabonese people to resist against Ali Bongo, are multiform. But we can agree on one thing, on a common denominator, who would like the Gabonese people to reject as a whole, the postulate of the regime which still considers in an archaic way that power is its exclusive monopoly.

For us who denounce this archaism, who are thinking of bringing Gabon into the era of democracy and competence; who believe that the scrupulous observance of a code of ethics and the resulting rules in the management of public affairs, could have the greatest benefits for the country's social and political balance, not to mention the public interest, the professional civil responsibilities which affects all Gabonese; the resistance has many reasons that justify its continuation.

As for Jonathan Ntoutoume-Ngome, we return the question to him: after your compromise, what will be next? Almost all that this individual thinks and expresses in this article of Gabonreview, in our opinion, aims at the immobilism, to the confinement of the Gabonese people in a situation which already shows daily the proof of its harmfulness. But for us, this immobilism, these forces of inertia wanting that nothing changes in the name of an equivocal continuity, are unacceptable.


We will not give up!



Version française

Dans une interview publiée par Gabonreview, Jonathan Ntoutoume-Ngome, de Démocratie Nouvelle, semble argumenter que la résistance observée depuis un certain temps par de nombreux Gabonais face au régime Ali Bongo, qu’il a rejoint, soit une voie sans issue. Ce à quoi ce blog lui répond que c’est le larbinisme et la compromission dans lesquels il se retrouve englué, qui sont des voies sans avenir. Nous nous en expliquons.

Pour ce blog, l’argument de Monsieur Jonathan Ntoutoume-Ngome n’est pas seulement incohérent, mais fait surtout montre de confusion. Dans sa vision des choses, il semble que pour lui, on ne puisse prendre position dans le débat politique au Gabon que si l’on en tire quelque chose immédiatement. Non il se trompe. Les motivations des Gabonais à faire de la résistance face à Ali Bongo, sont multiformes. Mais on peut s’accorder sur une chose, sur un dénominateur commun, celui qui voudrait que les Gabonais rejettent comme un seul homme, le postulat du régime qui considère encore de manière archaïque que le pouvoir soit son monopole exclusif.

Pour nous qui dénonçons cet archaïsme, qui songeons à faire entrer le Gabon dans l’ère de la démocratie et de la compétence ; qui pensons que l’observation scrupuleuse d’une déontologie et des règles qui en découlent, dans la gestion de la chose publique, pourrait avoir les plus grands bénéfices pour les équilibres sociaux et politiques du pays, sans oublier l'intérêt public, la responsabilité civile professionnelle qui pèse sur tous les Gabonais ; la résistance a de nombreux motifs qui justifient qu’elle soit maintenue.

Quand à Jonathan Ntoutoume-Ngome, nous lui retournons la question : après votre compromission, c’est quoi la suite ? Presque tout ce que cet individu pense et exprime dans cet article de Gabonreview, à notre avis, vise à l'immobilisme, à l'enfermement des gabonais dans une situation qui pourtant fait chaque jour la preuve de sa nocivité. Mais pour nous, cet immobiliste, ces forces d'inertie voulant que rien ne change au nom d’une continuité équivoque, sont inacceptables.


Nous, on ne lâche rien !

ECHOS DU NORD


MBORANTSUO IS EXPLAINED TO YOU. MBORANTSUO VOUS EST EXPLIQUÉE

POOR JEUNE-AFRIQUE. PAUVRE JEUNE-AFRIQUE

THE MASS FOR THE ALI BONGO’S DIALOGUE WAS EMPTY. LA MESSE DU DIALOGUE D’ALI BONGO ÉTAIT VIDE

LOOK AT THE DEMEANOR OF THOSE WHO SUPPORT THE DICTATORSHIP IN GABON. REGARDEZ LES TÊTES QUE FONT CEUX QUI SOUTIENNENT LA DICTATURE AU GABON

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English version

It's weird, but Ali Bongo's supporters look sad, and yet they are in power and nobody is shooting at them. Looking at them, we clearly feel that they do not like to be photographed in adulation posture to their hero. Perhaps they know that posterity is often cruel to the minions, for tomorrow, when Ali Bongo will be nothing but a painful memory, these images will be able to restore their role at a time when the Gabonese people were fighting for their freedom.

These people know that in one way or another, people pay for everything!

We will never let them off the hook!




Version française

C’est bizarre, mais les partisans d’Ali Bongo ont triste mine, et pourtant ils ont le pouvoir et personne ne leur tire dessus. A les regarder, on sent clairement qu’ils n’aiment pas se faire photographier en posture d’adulation à leur héro. Peut-être savent-ils que la postérité est souvent cruelle envers les larbins, car demain, quand Ali Bongo ne sera plus qu’un douloureux souvenir, ces images sauront restituer leur rôle au moment où les Gabonais se battaient pour leur liberté.

Ces gens savent que d’une manière ou d’une autre, tout se paie !

On ne les lâchera jamais !

MORAL PROBITY IN ALL ITS SPLENDOR. LA PROBITÉ MORALE DANS TOUTE SA SPLENDEUR

FADING OIL INDUSTRY BRINGS ECONOMIC UNCERTAINTY IN GABON. L'INDUSTRIE PÉTROLIÈRE CAUSE L'INCERTITUDE ÉCONOMIQUE AU GABON

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Traduction française

Le déclin de l'industrie du pétrole provoque l’incertitude économique au Gabon


Charles Lekabi vivait confortablement comme chauffeur pour une compagnie pétrolière dans la ville industrielle du Gabon de Port Gentil, jusqu'à ce qu'il fût mis au chômage il y a trois ans.

«Aujourd'hui, j'ai du mal à payer mon loyer», a déclaré Lekabi, qui avait travaillé pour la compagnie pétrolière française Total pendant sept ans avant d'être licencié pour des raisons économiques.

«Depuis que j'ai été licencié, j'ai acheté une voiture pour faire le taxi. Au moins avec cette voiture, je peux continuer à nourrir ma famille.

Une chute brutale des prix du pétrole en 2014 a frappé l'industrie pétrolière mondiale. Au Gabon, membre de l'OPEP, la production est en déclin, la reprise est lente et pourrait ne pas avoir lieu du tout.

Le secteur pétrolier a représenté 80% des exportations, 45% du produit intérieur brut et 60% des recettes budgétaires, en moyenne, au cours des cinq dernières années, selon les données de la Banque mondiale.

Avec la chute des revenus et la population sentant les effets de la crise, le président Ali Bongo est confronté à la plus forte opposition depuis des années et à des soulèvements sociaux, notamment une vague de grèves des travailleurs pétroliers qui exigent de meilleurs salaires et de nouveaux contrats.

"La baisse des recettes pétrolières pousse l'économie gabonaise au bord de la falaise", a déclaré Maja Bovcon, analyste Afrique senior chez Verisk Maplecroft.

"Le Gabon est confronté à un malheureux concours de circonstances politiques et économiques."

Bongo avait déclaré que la croissance économique l'année dernière devait être de 3%, un ralentissement par rapport à la moyenne de 6% depuis qu’il prit ses fonctions en 2009.

Le budget a été réduit de plus de 5 pour cent en 2017 en raison de la baisse de la production pétrolière et des prix. Le revenu par habitant était monté en flèche de 3090 dollar en 2000 à 10410 $ en 2014, en conséquence à la hausse des prix du pétrole. Mais il a chuté en 2015 pour la première fois en 15 ans, à mesure que les prix du pétrole dégringolaient.

Les sociétés, dont deux des plus grands producteurs : Total et Royal Dutch Shell, ont réduit leur présence, ce qui a coûté des milliers d'emplois. L'exploration en eau profonde au large de la côte atlantique, qui était censée compenser la chute de la production on shore, a donné peu de résultats.

L'ancienne colonie française est encore en proie à une élection contestée en septembre dernier, qui connue des violences à Libreville, la capitale sur la côte, attisant la colère des pauvres qui disent que les recettes pétrolières ne servent qu’aux élites au pouvoir.

Bongo s’est d'abord attribué la victoire, mais le leader de l'opposition, Jean Ping, a qualifié l'élection de factice, s'est déclaré président et a exigé un nouveau dépouillement dans la province du Haut-Ogooué, le bastion des Bongo où les résultats déclarés disent que le président a remporté 95% des suffrages sur un taux de participation de 99,9%.

L'affaire est allée à la Cour Constitutionnelle, qui a statué en faveur de Bongo.

Bongo, dont la famille a dirigé le pays de près de 2 millions d’habitants pendant 49 ans, a dit qu'il allait diversifier l'économie au-delà du pétrole, par l'exploitation minière, la sylviculture et l'agriculture. Il a pour objectif de réduire les dépenses et d'accroître les programmes sociaux, même si on ne sait pas jusqu'ici quels progrès ont été faits.

Bongo a déclaré l'année dernière que le Gabon était en train de construire une industrie manufacturière pour les produits du bois, au lieu d'exporter seulement la matière première brute de ses forêts ; et qu’il développait l'exploitation minière en produisant du manganèse. Il a également déclaré que le gouvernement distribuait des terres pour stimuler l'agriculture.

Le Fonds Monétaire International a déclaré que des progrès avaient été réalisés pour diversifier l'économie, mais a recommandé une "action décisive" pour résoudre les problèmes de revenus à court terme, sans élaborer d’avantage.

Dans un communiqué en février, le FMI a déclaré qu'il avait entamé des discussions sur un "arrangement financier possible" avec le Gabon.

De plus en plus silencieux

Les compagnies pétrolières regardent également de près leurs opérations au Gabon où la production a chuté de plus de 40 pour cent par rapport à un sommet en 1997 de 370000 barils par jour, selon l'Administration Américaine de l'Information Energétique.

L'année dernière, la production a atteint seulement 230000 b/j, selon le cabinet conseils Wood Mackenzie, qui prévoit une baisse de la production à 220000 b/j en 2017. Des baisses accélérées sont prévues en 2018 et 2019.

Citant la volatilité des prix du pétrole, Total a annoncé en février avoir vendu des participations dans certains de ses actifs matures au Gabon, à Perenco qui est basée à Londres. Shell, qui opère au Gabon depuis plus de 50 ans, a annoncé la semaine dernière qu'elle avait vendu ses actifs on shore au Gabon au groupe Carlyle pour 587 millions de dollars.

Le forage dans l’offshore, où l'espoir de nouvelles découvertes pétrolières était le plus prometteur, n’a pas progressé depuis août 2016, selon Drillinginfo, qui surveille l'activité de forage dans la région. Il y avait neuf plates-formes offshore en exploitation en 2014, quatre en 2015, une en 2016 et aucune aujourd'hui, d’après ces données.

"Au Gabon, c'est calme et ça devient encore plus calme", a déclaré Andrew Hayman, un spécialiste de l'Afrique chez Drillinginfo. "Il n'y a pas eu de succès comme ceux observés au Congo plus au sud."

Total ce mois-ci a déclaré qu'elle avait commencé la production de son site Moho Nord au large des côtes de la République du Congo.

Au Gabon, 3000 ouvriers du pétrole ont été mis à pied pendant la période de ralentissement, a indiqué le syndicat des travailleurs pétroliers, l'ONEP, à Reuters. Il a révélé que le secteur pétrolier et les activités connexes représentent maintenant entre 8000 et 11000 emplois.

Les grèves des travailleurs du pétrole ont éclaté et interrompu la production cette année, alimentées par ce que l'ONEP a décrit dans un communiqué, ce mois-ci, comme "de flagrantes violations de la dignité humaine".

Sur un site géré par Maurel et Prom Gabon SA, des soldats ont pénétré les lieux et pris le contrôle du site en février pour s'assurer que les opérations se poursuivent.

Les anciens travailleurs du pétrole voient leurs options diminuer.

Estelle, 27 ans, ancienne employée de bureau chez Perenco, a été licenciée il y a deux ans, pour des raisons économiques. Elle est toujours au chômage.

"Aujourd'hui, je dois partir à zéro", dit-elle.

THE ALI BONGO’S REGIME FIRES MOST SCHOOL HEADMASTERS. LE RÉGIME ALI BONGO FAIT LIMOGER LA PLUPART DES CHEFS D’ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES


THE EUROPEAN UNION DOES NOT BELIEVE ALI BONGO’S DIALOGUE. L’UNION EUROPÉENNE NE CROIT PAS AU DIALOGUE D’ALI BONGO

LAURENCE NDONG ON AFRICA 24. LAURENCE NDONG SUR AFRICA 24

ECHOS DU NORD

AIR FRANCE IS SWINDLING THE GABONESE PEOPLE. AIR FRANCE ARNAQUE LES GABONAIS

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English version

For airfare Paris-Libreville on Air-France in economy class, you pay from 899 euros, which is about 590000 CFA francs.

For the same airline ticket from Paris to Libreville in economy class, you pay from 899 euros, which is about 359000 CFA francs; this is about 231000 CFA francs difference.

But strangely enough, Air France on its line Paris-Johannesburg which is 4 hours longer than that of Libreville, prices the ticket at 756 dollars, which is 461069 dollars; that is 120000 cheaper than the flight to Libreville which takes only 6h30min.




Version française

Billet d’avion Paris-Libreville sur Air-France en classe économique, vous payez à partir de 899 euros, c'est-à-dire environ 590000 francs CFA.

Le même billet d’avion Paris-Libreville sur Ethiopian Airlines en classe économique, vous payez à partir de 547,42 euros, c'est-à-dire environ 359000 francs CFA. C’est 231000 francs CFA de différence.

Mais curieusement, Air France sur sa ligne Paris-Johannesburg qui est 4 heures plus longues que celle de Libreville, fait payer le billet à 756 dollars, c'est-à-dire 461069 dollars ; c'est-à-dire 120000 moins cher que la liaison vers Libreville qui n’est que de 6h30min.

THE MORE IMPORTANT MOMENT OF ALI BONGO’S DIALOGUE. LE MOMENT LE PLUS IMPORTANT DU DIALOGUE D’ALI BONGO

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